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I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT]

 
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MessageSujet: I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] EmptyMar 16 Sep - 3:51




◊ PRUSSE




▬ AU PREMIER COUP D'OEIL.





▬ INFO DE BASE.


NOM & PRÉNOMS ✯  BEILSCHMIDT Gilbert (Freidrich)
SURNOMS ✯ Ô Grand Seigneur, Maître et autres Qualificatifs mélioratifs Gil, Imbécile ou "Eh toi" (pour les moins intimes) Baribann ??...
ÂGE ✯ 20 ans
SEXE ✯ De taille convenable. Merci de vous en soucier .
ANNIVERSAIRE ✯ 18 Janvier
ORIENTATION SEXUELLE ✯ Le-reflet-dans-mon-miroir-ophile.
NIVEAU SCOLAIRE ✯ 19-23- Cycle Supérieur


▬ DERRIERE VOTRE PC.


PSEUDO ✯ Del
ÂGE ✯ 19 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? ✯ J'ai ouvert mon ordi et ....
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DES COMMENTAIRES ? ✯



 


▬ POUR MIEUX VOUS CONNAÎTRE.


PAYS QUE VOUS REPRÉSENTEZ ✯ Royaume de Prusse
LANGUE QUE VOUS PARLEZ ✯ Allemand principalement, Anglais par nécessité mais il le gère bien, des brides de vieux prussien, français et hongrois(surtout des insultes, en fait)

HISTOIRE PERSONNELLE ✯ La nuit était largement tombée, le voile sombre et lourd avait enveloppée la moitié du monde d'un air froid et sec. Son ciel laissait à peine distinguer ses étoiles derrière son voile de nuage. En somme cette nuit n'était pas bien différente de tant d'autres.
Le p'tit bonhomme était arrivé tôt en cette journée du 18 Janvier. Dans la voiture pour l'hôpital, sa mère se plaignait encore, entre deux contractions, de la sur-organisation de son époux au volant. Mais au fond cela l'amusait un peu. Elle était d'une corpulence à la banalité extrême, toute sa part de folie extraordinairement charmante, et parfois agaçante, s'affichait sans la moindre pudeur au creux de ses yeux rougeâtres, parfois un peu bleutés, et sa chevelure immaculée. Les traits si purs pour un esprit si dur. Elle était belle, elle était franche, souvent brutale, mais si douce par moment, et dans l'heure qui vint elle était maman.
Il était son portrait craché et personne dans la salle de travail n'aurait cru aussi bien dire. À peine né et déjà criard, le petit Gilbert hurlait tout ce qu'il savait avec déjà une voix purement agaçante, et pourtant ses parents affichaient des sourires soulagés et attendrit.

Ô qu'il était fier son père son premier fils. Celui-là même, si petit encore, qui tenait tout juste dans ses larges mains rudes, soudainement si douces et pleines de précautions. Il l'élèvera avec toute la droiture dont il serait capable, mais l'esprit sauvage et laxiste de son épouse ne l'aidera nullement et bientôt, le gamin ressemblerait davantage à sa mère, vif et turbulent, presque hyperactif. Ah ça oui, ils en piquaient des crises de fous rires les deux albinos, sous les yeux résignés et le sourire attendrit du grand blond qui, bien souvent, ne pouvait pas le leur reprocher et se joignait même à eux dans leurs jeux lorsque ceux-ci restaient un peu calmes. Du genre à se laisser faire recouvrir la tête de tresses de toutes sortes alors que la Dame tentait d'apprendre à son fils comment les faire, malgré son âge peu avancé.

Puis c'était peu avant ses trois ans, au petit. Dehors le pays entier fêtait la Réunification, comme tous les ans depuis la fin de la guerre. La ville était entièrement en folie, les hurlements des Berlinois se mêlant aux chants, à la musique et au klaxons des quelques voitures, remplies de monde, aux fenêtres, sur les capots et les toits, qui parvenaient à se faufiler dans la foule. Maman avait de nouveau le ventre rond, et un nouveau voyage fastidieux à l'hôpital pour revenir  avec un petit frère.
De grands yeux bleus et un vague duvet blond au sommet de sa tête, qu'il était beau le nouveau jouet Ludwig! Qu'il s'amuserait bien à lui apprendre pleins de bêtises. Comment embêter Papa et Maman, les faire sourire malgré tout. Lui apprendre, alors qu'il ne le savait pas encore tenir debout, comment tresser les cheveux de Papa, ceux de Maman.

Ceux de Maman ils étaient si longs, ils étaient si beaux. Ils dansaient dans son dos quand elle dansait avec ses deux fils dans les bras en marmonnant une vague reprise de Rammstein  en une sorte de berceuse. Elle était si douce sa voix malgré son ton légèrement grave, comme ses mains, comme ses cheveux. Elle était si douce, tout court.
Alors pourquoi elle n'est plus là ?

«-Elle s'est envolée mon grand. Comme les anges.»

Et pourtant c'était loin d'en être un parfois. Mais assurément qu'elle avait sa place à leurs côtés, Maman.

Après ça, Papa n'était plus vraiment pareil. Il était un peu comme avant, il mangeait pareil, il buvait pareil, parfois un peu plus, et autre chose peut-être, juste assez pour aller dormir, il souriait et il riait pareil. Il éduquait ses deux fils avec le plus grand soin et tout l'amour dont lui et Hedwidge est et aurait été capables.
Il s'amusait souvent de se faire gentiment pousser par Gilbert, sous prétexte que «tu sais pas faire», pour qu'il s'occupe lui-même de son petit frère, comme sa mère l'aurait fait.
Ils avaient tout deux hérités de son nom, à défaut de celui de leur père. Il voulait qu'ils aient au moins cette trace constante de celle qui les avait portés et aimés de tout son être. Mais seul Gilbert avait au moins prit d'elle son albinisme, assez embêtant, mais plutôt charmant, et son caractère fou et vif.

Il était provocateur le gamin. Il cherchait la bagarre à tout le monde, ses camarades, ses voisins, les enfants, les adultes même parfois. Petite teigne saoulante, merdeux démoniaque et un véritable trou dans le porte-monnaie pour tout ce qui concerne les frais d'hôpitaux et médicaux. Une tornade imprévisible et vantard sans la moindre limite physique ou mentale. Juste l'autorité de son père qui tentait de le calmer tant bien que mal.
Avec son cadet il essayait de faire les pires bêtises, se bagarraient à l'infini sur ''Qui a commencé'' jusqu'à que le paternel ne prennent sa trop grosse voix et que les deux enfants fondent en larmes et fasse paniquer le papa, parfois un peu guimauve sur les bords. Au final, on ne savait jamais qui avait commencé et au fond on s'en fichait un peu car ça finissait avec des pancakes ou un week-end chez Oma pour ''se changer les idées''.
Ils étaient complices, les deux frères. Inséparables, le grand protégeait le petit, le petit admirait le grand, c'était le duo de choc. Une fine équipe pour qui rien n'était insurmontable. Gilbert s'occupait de Ludwig comme son plus précieux trésor. Il avait comme l'impression qu'il se devait de le faire. C'était le dernier cadeau que sa mère lui avait fait, son petit frère. Alors, il veillait sur lui comme sur la prunelle de ses yeux d'albinos. Et c'était en partie pour cette raison que le gamin se bagarrait souvent, il le défendait  pour n'importe quelles raisons, s'enflammant à la moindre petite provocation envers son petit frère ou lui-même. Ah oui les autres enfants du coin avaient appris à craindre le courroux de Gilbert si ont le vexait. C'est qu'il est facilement irritable le petit bout d'homme.

Il arrivait à ses neuf ans, quand le garçon recommença à faire ces rêves. Ceux-là même qu'il a toujours fait, qui lui semblaient étranges, violents et angoissants. Ils lui donnaient comme ces impressions de déjà-vu, gênantes, impossibles, mais cela vous semble tellement vrai. Il en a toujours fait des rêves comme ça, mais voilà qu'ils devinrent plus intenses. L'impression de réalité plus étrange et dérangeante encore. Si bien que les plus violents devinrent d'horribles cauchemars pour le gamin, qui se levait pour aller se réfugier dans les bras de son père, honteux d'être en larmes, mais tellement effrayé.
Il croyait vivre en rêve la vie d'un autre et pourtant dans ces rêves quand il croisait un miroir c'était bien lui, avec quelques années de plus, qu'il voyait comme reflet, cependant son regard était bien différent. Et lorsque Gilbert racontait ses rêves à son père, celui-ci fronçait les sourcils, comme inquiet et agacé, avant de serrer son fils contre lui, pour le rassurer, mais le petit avait aussi l'impression qu'il voulait se rassurer lui-même. Dans ces instants il le tenait toujours comme si c'était la dernière fois, et cela avait tendance à quelque peu effrayer l'albinos qui malgré tout demeurait silencieux sur ce point.

Un été, alors qu'il avait douze ans, le jeune Beilschmidt reçu un courrier. Une lettre, rédigée à la plume sur du papier à grain. Quand son père eut finit de la lire, il regarda son fils entre fierté et tristesse, puis il lui expliqua qu'il avait été choisit pour entrer dans une Académie, cela même ou il avait lui aussi étudié plus jeune. On l'avait choisit lui pour représenter la Prusse.
La Prusse, son Grand-père lui en avait souvent parlé, il lui avait montré les livres et les illustrations, lui avait parlé de ses Rois et de comment ce Royaume avec construit l'Empire qui à fondé ce qu'est aujourd'hui le pays dans lequel il est né. Alors il était fier, il se dit que ces rêves avaient finalement un sens, il était un concentré de cette mémoire qui pourrait disparaître alors il la défendrait avec grandeur.
L'automne vint et avec lui, Gilbert débarqua à New-York avec son père qui, quant à lui y revenait pour y être professeur.

Il était là pour apprendre à devenir une Nation. Pour que l'on se souvienne de lui des siècles durant.

FAMILLE ✯ Fils de Germanie et Frère aîné d'Allemagne

VOUS AVEZ L'AIR DE QUOI ? ✯
Un noir complet. Dans la chambre silencieuse, on n'entend que la respiration des deux colocataires de la numéro huit, jusqu'à ce que le refrain de ''Paradise City'' de Gun's & Roses retentisse à un volume fou pour réveiller le Prussien.
Il doit être 5:30, il n'a jamais trop dormi, mais bref. Le jeune homme de presque 20 ans se tire lentement son lit après avoir coupé la violente sonnerie de son téléphone. L'Espagnol dans le lit en face du sien se retourne tout juste sans se réveiller. Gilbert reste assis un petit moment sur son lit, sa tête en poids mort dans ses mains, puis se dresse du haut de son mètre soixante-dix-sept et traîne des pieds jusqu'à la salle de bain. Il y allume la lumière et ferme la porte derrière lui pour le pas gêner le sommeil de son ami. Il plisse les yeux, c'est dire qu'il a les yeux fragiles, l'albinos. Quasiment aucune pigmentation, juste la couleur rouge sombre de sa rétine qui ne se cache que derrière le voile quasi invisible d'un bleu trop pâle à moitié effacé. Deux pierres de rubis chaussées dans ses orbites, sous des sourcil un peu épais, blancs, à peine discernables sur son teint laiteux.

Il s'avance vers le lavabo, ouvre légèrement l'eau et s'arrose le visage avant de passer une main dans ses cheveux blancs, plus ou moins long sur le haut de sa tête et à mesure que l'ont descend vers ses oreilles et sa nuque ils se dégradent en longueur jusqu'au simple centimètre de long.
Il relève son visage, légèrement plus réveillé vers le miroir. C'est vrai qu'il était quand même beau garçon. De manière tout à fait objective, ou presque.
Il a le visage un carré, les lèvres larges, presque pulpeuse, les pommettes et la mâchoire saillantes, mais le menton rond, son nez est cassé, force de bagarres stupides, et du coup un peu large, mais rien de laid. Loin de là ça s'accorde parfaitement à la structure de son visage. Il attrape son rasoir et sa mousse et se débarrasse de la barbe qui devenait un peu trop longue et qui habillait le bas de son visage et le haut de sa gorge. Elle est large sa gorge. Sa pomme d'Adam est assez marquée et invite avec insouciance à glisser son regard vers sa clavicule qui guide vers ses épaules larges, carrées, et son torse.
Sur son épaule droite se dessine des pétales de bleuet des champs, l'illustration de la plante descend le long de son bras, sur les courbes des muscles marques et des quelques veines apparentes, jusqu'à sa réelle base, son poignet. Large, tout comme son jumeau de gauche, bases solides pour des mains tout aussi larges, pourtant allongées. Un peu séchée et habiller à force de manipuler la mécanique des motos et les huiles de moteur, le cambouis.
Ses pectoraux sont plutôt rond, ressortant plus vers les extérieurs et légèrement moins marqués vers l'intérieur. Une pente douce jusqu'au creux qui délimite le droit du gauche. Tout juste en dessous, sa taille large n'est que tout juste marquée et glisse en V tout juste suggéré jusqu'à ses hanches. Il a les abdos très peu marqués, tout juste esquissés, mais bien présent.  Quelques cicatrices parsèment sa peau blanche.

Il se tourne un peu, de profil il a les épaules qui dessinent une large courbe et son dos se termine en une petite cambrure. Cette dernière est accentuée par le galbe assez flatteur de son fessier(Si vous êtes curieux et que vous avez une TI82, la courbe exacte équivaut à y=-(sin(x^(1.7/6)+4)+(1/x))+10 ). Ah ça c'est sûr, il a bon cul. Il lève le bras gauche pour afficher les chiffres romains et la courte phrase en allemand qui composent un autre de ses tatouages. Ses lèvres s'étire en sourire satisfait alors qu'il se tourne davantage, tenant désespérément d'imiter un hibou qui tournerait sa tête à quatre vingt-dix degrés. Au-dessus de sa fesse droite, l'aigle qui habille les armoiries prussienne, et quelques autres cicatrices çà et là dans son dos. Résidus de bagarres ou de paris stupides qui finissent par un voyage à l'hôpital.
Sous ses hanches droites, il a les cuisses un peu larges, dût à son éternel jogging matinal, et pour ce qu'il y  a entre les deux, je vous laisse le loisir de l'imaginer ou de le découvrir vous-même.
Il a les jambes musclées et au bout de ces dernières, il chausse un quarante-deux.

Le check narcissique terminé, il se lave rapidement les dents, passe un coup de déo et enfile un simple t-shirt, un jogging et sort de la salle de bain. Il se chausse avec des baskets hors de prix, mais pour le confort de sa course, Gilbert y met les moyens. Son sweat pour la fraîcheur matinale, AC/DC ou Rammstein dans les oreilles, une bouteille d'eau et il quitte sa chambre et l'Académie pour aller courir.

Il rentre vers les 7:20 la plupart du temps, l'Espagnol est en phase de réveil alors il en profite pour reprendre la salle de bain, le temps d'une douche et de se rhabiller. C'est Samedi aujourd'hui, alors à défaut de porter l'uniforme, il se couvre avec un jean brut coupe cigarette et un t-shirt blanc. Il se recoiffe rapidement devant le miroir, quelques sprays de parfum  et le voilà ressortit., laissant la place à son pote qui le salut d'une claque au cul, comme les rugbymen quoi, no homo. Le temps que son ami se prépare, le prussien se fume une cigarette à la fenêtre, puis une veste noire à col rond sur les épaules et ses Nike aux pieds, il sort de la chambre pour aller prendre un café à la Salle Communautaire.

CA SE PASSE COMMENT DANS VOTRE TÊTE ? ✯
Dehors il fait plutôt gris, et c'est tant mieux. Pas que Gilbert n'aime pas les jours ensoleillés, mais sans doute qu'il les apprécierait plus s'il ne risquait de cramer à la moindre seconde passée sous un rayon de soleil trop violent. Et il ne manquerait plus que ça, pour le moment sa matinée se passe plutôt bien. Il est tranquille sur la terrasse qui prolonge la Salle Communautaire à l'air libre, le cul posé sur la rambarde, son café à la main.

Noir, court et sans sucre, sinon il ne se réveil jamais. En fait peut-être qu'il vaudrait mieux qu'il ne se réveille pas. Car le prussien une fois réveillé tient difficilement ne place et s'il s'ennuie il va emmerder son monde de manière et autre. Un divertissement des plus passionnant ! Et aussi une raison subtile de se faire remarquer et aussi provoquer le premier qui pourra répondre avec les poings. Mais ça c'est pour les jours où il est de bonne humeur. Le sourire fier ou moqueur aux lèvres, le ricanement agaçant, le regard vif et pétillant de sadisme, quand l'inspiration lui vient il devient un incroyable calculateur et un formidable stratège dans les pires des cas.
Lorsqu'il se lève du pied gauche, il soit beaucoup plus silencieux et envoie sa main sur la joue du premier imbécile qui vient lui adresser la parole, ou alors, il ne cesse de se plaindre et envoie sa main sur la joue du premier imbécile qui vient lui demander de la fermer. (Enfin il aimerait bien, mais les allés-retours chez le Directeur(ou à l'infirmerie, ou à l'hosto...) au bout d'un moment, ça calme.
Dans l'ensemble il est plus froid que d'habitude, au moins vous le remarqué directement quand il tire la gueule.

Mais quand bien même, aujourd'hui est une belle journée, il a envie de s'occuper cependant.... personne dans la salle. Ah ça c'est bien bête. C'est que la star à besoin d'un public. Que le spectacle soit emmerdes, stupidité ou juste se prendre pour le plus grand tombeur de ses Dames, il se plaît constamment à s'afficher devant son public désormais favori, ces camarades de l'Académie. C'est qu'il l'orgueil facile l'albinos.
Tout à fait conscient de ses atouts naturels, un peu trop conscient même, trop conscient tout court ou pire genre, surestimés un peu beaucoup, Gilbert se pavane et vit chaque minute comme s'il était filmé pour une émission de télé-réalité. Mais comprenez. Enfin. Regardez-le, là, seul, au calme, son café à la main et sa clope au bec, réfléchissant(????) au sens de sa propre existence. Sa vie n'était-elle pas passionnante ?! À tous moments ! Il pourrait toujours se la ramener un peu disant qu'il représente une Nation, qu'il est un être exceptionnel, mais soyons francs, au milieu d'une foule d'élèves et de professeurs pour qui c'est également le cas, cela baisse forcément en crédibilité.
Alors, certes à ses propres yeux, il reste exceptionnel, mais bon.

Mais voilà alors, une tête blonde qui entre, tandis qu'il tire la dernière taf de sa cigarette. Le Prussien affiche un lerger sourire, écrase son mégot et se redresse d'un mouvement fluide, se donnant un élan presque gracieux pour rejoindre la porte fenêtre et revenir à l'intérieur de la salle.

«-Hey ! Arthur...»

Sa voix est déjà agaçante et moqueuse et son sourire est clairement mauvais. Et désormais, espérons que personne ne vienne lui voler son jouet du matin. La bête est possessive.

CE QUE VOUS AIMEZ ? ✯ "Moi. Les traditionnels ''Famille'' et ''Amis''. Moi. Les oiseaux. La bière. Ta mère... et Moi." Plus sérieusement niveau musique il écoute surtout du Rock, un peu tous les genre, mais tout ce que qui se joue sur une guitare est susceptible de l'intéressé (Blues, Jazz, Country, ...ect), il sait apprécier quelques raps ou morceaux d'electro.

CE QUE VOUS N'AIMEZ PAS ? ✯ Les bières dégueux, c'est pas vraiment des bibines en fait. Autriche... ? Se faire ignorer. La musique classique, c'est nul à chier.

TALENT PARTICULIER ✯Il nous informe que "Je fais très très bien les cunn-" NON SÉRIEUSEMENT LÀ. Il sait jouer de la guitare et réparer des motos, c'est tout. Ah il est doué pour péter des tronches aussi et tenir l'alcool.

HABITUDES/TICS ✯ Ricaner. Pour tout et rien.  Gamme disponible du franc à l'ironique en passant par le jaune (et pour 1$ de plus vous avez la tête de kéké.)

CLUB QUE VOUS FAITES PARTIE ✯ Musique

LOISIRS ✯ Sport le matin et ramasser tous les oiseaux blessés de la Création, je suppose.

POSTE/EMPLOI ✯ Mécanicien dans un garage de Moto.


BLOOPERS(co-écrit avec Elow) :
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MessageSujet: Re: I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] EmptyMar 16 Sep - 11:35

    Vous êtes tarées et j'aime ça.

    Rererere <3
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MessageSujet: Re: I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] EmptyMar 16 Sep - 17:46

Les bloopers les plus chelous de la création sérieux I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] 3402058846
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MessageSujet: Re: I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] EmptyMar 16 Sep - 18:32

Les bloopers les plus fantastiques et inspirés de la création tu veux dire !
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MessageSujet: Re: I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] EmptyMar 16 Sep - 20:56

(je floode vitef mais) on dirait que ma sign prend en photo la tienne du coup j'ai rigolé, pardon
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MessageSujet: Re: I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] EmptyMar 16 Sep - 20:57

(Hongrie trop excitée par la mousse partout sur les lèvres j'adore)
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MessageSujet: Re: I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] I'm alive but, only ironically [Prusse - REBOOT] Empty

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