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| Sujet: viva la vida ♔ Espagne Mar 2 Sep - 17:13 | |
| | Au premier coup d’oeil✯ Nom : Antonio Fernandez Carriedo✯ Surnoms : Tonio ou Toni.✯ Âge : 21 ans✯ Sexe : Garçon, sans aucun doute✯ Anniversaire : 12 Février✯ Orientation Sexuelle : Tous les gens beaux et hot..oh zut il y'en a beaucoup ici :D✯ Niveau Scolaire :
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❧ Pays que vous représentez : Reino de España, le royaume d'Espagne. ❧ Langues que vous parlez : L'Espagnol, surprenant ? A peine.. le vrai nom c'est Castillan, oui il parle Castillan et en fait, c'est très utile, y'a beaucoup de gens qui parlent espagnol sur terre il peut communiquer avec du monde, mais pour comprendre les autres il a bien été obligé d'apprendre l'anglais, Anglais et Castillan donc, même si son accent hispanophone ne voudra jamais partir. Il est heureux quand il peut trouver des élèves qui parlent espagnol. Si on chipote il comprend un peu quand on lui parle en italien, rien quand c'est en portugais. Mais si on lui parle les autres langues d'Espagne, le valencien, le catalan, le basque.. il peut comprendre quoi, même si incapable de les parler. ❧ Histoire Personnelle : - Spoiler:
Antonio a toujours eu une attirance particulière pour l'épique, s'inventant des scénarios il s'imaginait comme le héros de chacune de ses histoires. Le deuxième héros de ses histoires était son père, et il lui en inventait des rôles ! Après tout le petit espagnol pouvait se le permettre, car il n'avait plus de père, mais ça il ne le disait surtout pas, pas devant ses camarades de classe qui croyaient dur comme fer les jolis et incroyables mensonges de ce petit garçon qui avait au moins le talent de savoir bien raconter, et de surcroit avait de l'imgination. En ce moment son père était en mission secrète au Mexique afin de dénoncer de méchants hommes qui voulaient abattre une forêt, un autre jour il était un rebelle déchu qui allait se venger du roi du chili car ce dernier l'avait un jour enfermé pendant trois ans dans une prison et qu'il avait été longtemps son pire ennemi pour des questions de succession à la couronne... le lendemain son père serait un aventurier dans la jungle des philippines il viendrait de découvrir une nouvelle espèce de singe incroyable, mi gorille mi homme, et ça serait révolutionnaire. Il aurait été aussi un pirate voyageant tous les océans, un espion au service de Cuba, l'entraineur de l'équipe du Real Madrid, un grand aristocrate parcourant l'europe, un ancien homme de la jungle colombienne et j'en passe. Bien sûr Antonio n'omettait surtout pas de s'inclure en tant que personnage dans ces épopées, il avait aidé son paternel à accomplir tous ces merveilleux exploits, et quand il finissait son récit les gamins les plus crédules autour d'Antonio le regardaient avec d'immenses yeux émerveillés, gobant tout ce qu'il disait. Et Antonio était le nouveau héros de l'école. A chaque rentrée de vacances il était partit à l'autre bout du monde rejoindre son père et inventait de nouvelles histoires pour ses petits camarades. La vérité était moins incroyable, chaque vacances il quittait Séville pour partir avec sa mère voir la famille pour qu'ils puissent le garder pendant que madame Carriedo travaillait la journée. Disparu de la circulation de Seville, Antonio pouvait à loisir inventer de nouvelles histoires sans risquer d'être traité de menteur, tout du moins devait il faire attention à la crédulité de ses interlocuteurs. Si jeune et déja les jeux de relation plaisait à l'enfant qui au fond de lui souffrait de ce manque de père. La vérité était loin d'être aussi belle, son père avait tout bêtement quitté sa mère quand le petit garçon avait 5 ans pour couper les ponts petit à petit. Ils n'avaient pas été mariés, et madame Carriedo devait travailler dur afin de subvenir aux besoins de sa mini famille. Ils vivaient un petit appartement à Séville, la vie était douce avec sa mère. La vie était également douce quand il rejoignait ses grands parents dans la campagne, dans leur maison en pierre style hacienda, envahie par les bougainvilliers. La vie était douce mais ce père lui manquait cruellement, il avait appelé de temps en temps, passait un coup de téléphone aux annivrersaires du petit Antonio, lui promettant un jour qu'il passerait, envoyait un cadeau à Noel par la poste, mais c'était tout. Un procès s'était engagé entre madame Carriedo et monsieur Fernandez, celle ci voulant lui extorquer le plus d'argent possible vu qu'il avait refusé de payer de pension alimentaire. Antonio comprenait ce qui se passait et de toute façon sa mère n'était pas du genre à vouloir lui cacher quoi que ça soit même si c'était un enfant. Il s'inventait donc un univers merveilleux et dangereux à raconter à ses camarades, et croyait lui aussi parfois à ses propres mensonges. Il n'y avait pas qu'à ses camarades qu'il plaisait. Chaque vacances d'été Antonio les passait avec ses grands parents, un mois avec eux, un mois au camp de vacances pour petit garçons santo domingo, dirigé par des prêtres. Des vacances strictes mais qui convenaient aux grands parents et à madame Carriedo, très catholique malgré son caractère volage. Les enfants de cet établissements étaient eux aussi impressionnés par le charisme et la vie inventée du petit Carriedo. Il comprit également qu'un des pères, nommé Manolo était très intéressé par toutes ses petites histoires. Antonio avait 10 ans et avait l'âge de comprendre qu'il y avait un homme sous la soutane de ce prêtre et qu'il n'était pas qu'intéressé par ses histoires. Après tout les plus anciens pensionnaires savaient de quoi ils parlaient, ils disaient à leurs amis quels prêtres il fallait éviter, quels prêtres pouvaient potentiellement offrir des cadeaux si on savait comment les prendre. Antonio vit là l'occasion de faire ce qu'il avait toujours rêvé de faire : aller voir son père qui habitait Madrid. Il connaissait l'adresse, il avait essayé de prendre le train, de faire du stop, de soudoyer sa mère, ses grands parents, les parents d'amis mais rien n'avait jamais fonctionné, on l'avait empêché de fuguer, on l'avait retrouvé dans le train sans billet, la police l'avait retrouvé alors qu'il tentait de monter dans un camion. Ce Manolo, après maintes promesses du petit garçon et mignons sourires étaient tout à fait d'accord pour l'emmener à Madrid, un beau matin de juillet. Antonio regardait le paysage totalement sec de l'espagne centrale défiler sous ses yeux, son coeur battait la chammade, il allait enfin pouvoir voir son père.... comprendre ce qui n'allait pas... Manolo et lui devaient aller à l'hotel, ils prirent une chambre et alors que Manolo prenait une douche Antonio se défila pour s'élancer seul dans la capitale espagnole. Il savait où son père se trouvait car il avait vu les courriers que sa mère envoyait à la justice, il y avait un jour trouvé l'adresse de l'auteur de ses jours. Il marchait sous le soleil de plomb, chaparda une carte de la ville dans un magasin, rien ne lui importait si ce n'était d'enfin retrouver monsieur Fernandez. Il habitait un tout petit peu en dehors de la ville et le petit garçon marcha longtemps pour arriver enfin là où il voulait. Une immense villa aux murs blancs était là, à l'adresse où il devait se rendre. Il y avait une grille, on ne pouvait pas entrer. Antonio fit le tour pour essayer d'apercevoir quelque chose quand soudain son père se pencha au balcon, au téléphone, regardant l'horizon. Son père était massif, un peu gros, très brun, les sourcils éternellements froncés et l'air agressif mais Antonio l'admira à tel point à ce moment que les larmes lui mètent aux yeux. Oui, il parlait au téléphone du travail, c'est pour ça qu'il n'était pas venu le voir, il était très occupé avec son travail comme il l'avait dit. Et au moment où le jeune garçon se décidait pour aller retourner sonner à la porte il aperçut deux enfants, plus jeunes que lui, sauter dans les bras de son père. Son père sourit, rit, puis entra une femme. Une femme qu'il avait déja vu quelque part, elle embrassa son père puis la petite famille retourna à l'intérieur.
Quand Antonio arriva à l'hotel de Madrid il était 2 heures du matin. Le père Manolo se faisait un sang d'encre, et il ne pouvait décemment pas appeler la police, comment expliquerait il ce qu'il faisait avec un petit garçon du camp de vacances de Séville à Madrid, dans un hotel. Il poussa un cri de soulagement en voyant revenir Antonio, épuisé, l'air abattu. Ils retournèrent le lendemain au camp de vacances. A peine arrivé qu'Antonio appela sa mère pour lui dire qu'un père de l'établissement lui avait 'fait des caresses et plus encore'. La police débarqua et les prêtres se retrouvèrent devant la justice, plusieurs mois plus tard de l'argent fut versé à madame Carriedo pour les futurs traumatismes de son fils qui n'avait absolument pas été violé mais qui n'avait trouvé que ça pour se venger du mal être qu'il ressentait. Il était parfaitement vrai que des petits garçons avaient été touché dans cet établissement, et la vérité éclatait il y avait au moins ça. Quand à son père, Antonio ne chercha plus jamais à le joindre, et laissa la colère et l'amertume remplacer l'espoir, ça pour quelques années avant qu'il accepte d'oublier son père. Une blessure pareille se garde cependant toute sa vie.
L'épisode de son père fut probablement la seule chose qu'Antonio voulut bien abandonner dans sa vie, il était triste d'abandonner son espagne adorée, ses grands parents, sa maman quand on lui dit qu'il allait partir pour les Etats Unis. Arrivé à l'académie, Antonio fut probablement connu pour sa ténacité et son caractère têtu, tout du moins pendant ses premières années. C'était un gosse turbulent et qui réussissait toujours à obtenir ce qu'il voulait, on comprenait à la fin qu'il fallait s'en méfier de ce petit bout d'homme dont l'éducation d'une mère femme fatale avait déteint sur lui. Elle avait pensé que cette école aux USA serait probablement une très bonne chose pour son fils.. oh tous les gouvernements du monde pouvait débarquer chez elle si elle ne voulait pas donner son enfant ils ne lui prendraient pas.
Les choses les plus compliquées comme avait l'air d'être cette école étaient les choses les plus simples, Antonio se sentait comme chez lui, de nouveaux amis et l'occasion de s'amuser comme un fou..il avait cessé d'inventer des choses impossibles et petit à petit devenait plus honnête.
Il découvrit le Projet Revival qui lui apporta une réponse de plus, la réponse à ses désirs de conquête, d'épique et d'aventure, celle de l'Espagne, il était l'Espagne, il était ce pays à l'Histoire passionnante, le grand conquistador, le roi hargneux et l'adolescent souriant pour rien, l'adolescent amoureux de tout ce que la vie pouvait lui donner.
Viva la vida.
❧ Famille : Antonio a une large famille si on compte les grands mères, les tantes, les oncles, les cousins, etc etc....ils sont tous très proches. Son père il ne le voit plus depuis longtemps. ❧ Vous avez l’air de quoi ? - Spoiler:
Antonio est toujours élégant, rares sont les jours où il se montre débraillé en public, en fait même quand il est tout seul il essaye d'être correct, on lui a souvent répété que c'est une politesse de se montrer aux autres sous son meilleur jour, ainsi le jeune homme est toujours distingué, douché pour être frais et dispo toute la journée. Oh enfin ce n'est pas qu'il s'habille avec des costards, loin de là, son style vestimentaire est même extrêmement simple, il porte des chemises claires, des t shirts, des pantalons en toile plutôt serrés... simple je vous dis.
En fait l'espagnol paraît même complètement banal quand on le croise, il n'attire pas particulièrement le regard, il est assez grand, moyen, plus grand que moyen, moyen-grand.... sa silhouette est svelte, souple et sa démarche ondulée et légère. Mince il n'en est pas pour autant faible, l'espagnol possède une force assez efficace et conséquente, il ne pourra pas égaler les plus baraqués de l'académie mais se défend extrêmement bien niveau endurance. Mince je disais, mais pas maigre, pulpeux en fait on devrait dire, en forme tout simplement, .. c'est qu'il ne meurt pas de faim, ça se voit en regardant ses fesses, ah si on devait trouver une partie de son corps qui attire l’œil ce sont bien ses fesses, bien dessinées par une descente de rein prononcée... toujours moulées dans des pantalons qui n'ont pas été taillés pour ce genre de postérieur on les voit bien. Il n'y peut rien, c'est ainsi, c'est génétique, un héritage familial. Je pourrais vous raconter l'histoire, l'histoire de la famille Carriedo réputée pour leur postérieur qui les envoya directement servir de modèle pour les grands sculpteurs de la renaissance et fit leur richesse pour plusieurs génération, mais bref c'est surtout une légende, passons à autre chose.
Sa pilosité est moyenne, plus développée que la plupart de ses congénères européens le petit garçon n'en est plus un et sur sa peau hâlée et bronzée a poussé depuis longtemps la puberté dont il n'apprécie parfois la démonstration et la fait disparaitre à la cire ou au rasoir, il doit également se raser le menton et la machoire assez souvent mais il le fait, ça le rend plus jeune. La tignasse aussi. Il a une belle masse chevelue oh ça oui, si Antonio était une fille il porterait une fière chevelure aux boucles folles et brillantes le long de son dos, est ce que vous visualisez ? Eh bien maintenant il faut imaginer ça en plus court, juste assez pour couvrir la tête, et voilà ce sont les cheveux d'Antonio. Quand il était petit ses cheveux de derrière étaient bien plus longs, par tradition espagnole, peut être les laissera t-il de nouveau pousser un jour qui sait.
180° plus loin le visage, ovale, on le voit son visage, ses sourcils sont épais et tout aussi noirs que ses très longs cils ; sa bouche est colorée, toujours souriante et quand il l'ouvre c'est pour parler d'une voix grave qui peut surprendre au début mais on s'y habitue vite, par contre on ne s'habitue pas au débit de parole de l'espagnol, même en anglais il parle rapidement surtout quand il est heureux, et il est souvent heureux. Quant au reste c'est mauvais signe si ses yeux ne pétillent pas d'un éclat de malice, ses yeux verts, bruns vers le milieu qui leur donnent une sorte de couleur vert clair tirant vers le jaune. Des yeux d'espagnol, grands ouverts, prêts à découvrir tout ce que la vie peut lui offrir, dans toute son horreur et sa beauté. Ses grands yeux endormis aux longs cils sont leur seul aspect extrêmement féminin chez Antonio si on omet les grosses fesses, oui il a des yeux de fille. Très brun, son visage a les proportions normales, banales, pratiquement, les traits beaucoup plus prononcés que fins, et bien sûr il a la tête typique de l'espagnol, plus espagnol tu meurs, un jeune espagnol qui vient d'entrer dans l'âge adulte, plus tard ses yeux se creuseront un peu plus dans ses orbites, ses oreilles sembleront plus décollées, sa bedaine grossira...mais au moins Antonio aura toujours autant de cheveux. Oh il n'y pense pas, n'est il pas censé vieillir dans particulièrement longtemps ? Pour l'instant il profite de sa jeunesse et n'aime pas l'idée de se montrer sous un mauvais jour visuellement parlant parmi les autres. C'est très mauvais signe si un jour Antonio se met à négliger son apparence physique... et au contraire il aura tendance à négliger sa santé voire imposer ou laisser son corps subir des violences.
Dernier détail, Antonio ne se sépare jamais de son chapelet en argent, c'est un bijou très précieux pour lui et qui témoigne également de ses convictions religieuses, n'essayez pas de lui voler ou de lui abîmer, il s'énerverait.
❧ Ça se passe comment dans votre tête ? - Spoiler:
Parfois les choses les plus simples sont les plus compliquées. Vivre sa vie entièrement n'est pas compatible avec le mot 'simple', pas pour l'être humain. Si on pouvait trouver un seul qualificatif à Antonio Carriedo ça serait celui là: « humain ». « humain. » dans certaines bouches cela sonne comme une insulte, chez d'autres un compliment, en réalité l'être humain est trop compliqué pour que l'adjectif « humain » soit concrètement définissable et pourtant cela pourrait être synonyme de simple.
Antonio est bien trop humain, dans le sens du compliment pour commencer : il est simple en ce sens que vous pourrez toujours prévoir ses réactions, des réactions chaleureuses, tournées vers les autres, son extraversion, sa bonne humeur, le fait qu'un sourire est toujours plus efficace qu'autre chose, son irritation devant de petites choses, son plaisir quand il mange un bon petit plat, quand il écoute le piano, quand il st généreux, quand il caresse un animal, quand il rit pour rien, quand il sent le vent dans ses cheveux, quand il court vers la plage, quand il embrasse un autre humain, quand il touche un autre être humain, les arbres, la nuit, le soleil, sa joie pure et simple. Oui c'est simple, l'humain est simple quand il aime la vie, quand il n'est que vie, comme Antonio car il faut très peu à l'espagnol pétillant de vie pour être de bonne humeur et considérer qu'il a de la chance et remercier le ciel par de la simple joie. Optimiste il s'attend à ce qu'elle lui rende cet amour et ne s'inquiète pas du futur, le passé n'existe plus, il n'y a que le moment présent qui mérite d'être vécu et c'est pourquoi vous verrez toujours le brun faire à fond tout ce qu'il fait. Faire la sieste à fond, bouder à fond, faire la fête à fond, être calme à fond, excité à fond, travailler à fond, danser comme si c'était sa dernière nuit sur terre et aimer de tout son soûl... Sauvage, puisque l'exception à la règle ci dessus serait les devoirs, il est parfois bien difficile voire impossible de le changer, de le diriger, ooh c'est qu'il n'aime pas spécialement l'autorité le petit espagnol, c'est qu'il n'aime pas les personnes qui se mettent en travers de sa route, c'est qu'il est libre l'espagnol, libre comme l'air qu'il inspire à fond dés qu'il sort dehors, libre comme les étalons dans la prairie et l'eau du ruisseau. Il ne réfléchit pas, il n'a pas besoin de réfléchir, son corps lui dicte ce qu'il doit faire, si ça fait du bien ça ne peut pas être mauvais.
Mais à partir de quand le qualificatif d'humain a t-il pu devenir insultant ? Peut être quand le simple ne nous suffisait plus, peut être quand nous voulions plus, toujours toujours plus. Antonio est l'être humain le plus humain que cette terre ait portée, et par conséquent ses désirs sont tout ce qu'il y a d'humain, donnez lui la terre il sera incapable d'en faire un paradis. Il connaît les sept pêchés capitaux, il connaît le désir incontrôlable, il connaît la folie, il connaît les extrêmes, il connaît la jalousie, le mensonge, la cruauté et la colère. Il connaît l'ivresse de l'or et de l'aventure, il connaît la terreur de l'échec, il connaît l'envie de gloire et l'ambition démesurée, il connaît la soumission totale et la domination absolue, l'Art autant que la destruction, la peur de la mort, de dieu et de lui même. Dans son cœur pur sommeillent tous les démons que l'être humain peut abriter, et ces petites émotions noires n'attendent qu'une opportunité pour s'échapper et corrompre ce qu'elles peuvent atteindre, vicieuses, gourmandes.
Espagne est si innocent et simple que son cœur a de la place pour toute la complexité et toutes les contradictions que l'être humain a put un jour porter.
❧ Ce que vous aimez : ♔ Les petites choses simples de la vie, les petits détails, honnêtement ce n'est pas bien dur de complaire Antonio, quoique vous lui fassiez faire il trouvera des points positifs, mais dans le top 10 de ce qu'il aime il y a : ses amis, les gens, les interactions, Antonio est très sociable, sincère et aime passer du temps avec les autres, avec ses deux inséparables meilleurs amis aka l'éleveur de poussins et le buveur de vin. Gilbert Francis et Antonio trouvent toujours de quoi s'occuper, on pourrait qualifier Espagne de perturbateur et d'indiscipliné parce qu'il ne résiste jamais quand il s'agit de se faire enrôler pour faire le bordel. Il a le goût du risque et de l'aventure et des défis. ♔ Il aime le soleil, sans soleil il déprime, il se sent fade et fatigué. ♔ Il aime le vin, le vin français, italien et espagnol. ♔ Il aime les jolies filles et l'amour. ❧ Ce que vous n’aimez pas : ♔ Antonio n'aime pas être ignoré c'est un fait. Il aime briller au milieu d'une foule, être le centre de l'attention, par conséquent il n'aime pas trop être seul et on le trouvera souvent entouré des camarades. Il n'aime pas quand son honneur est bafoué, qu'on le prenne pour une bonne poire, qu'on se moque de lui, qu'on le provoque, ça peut parfois le faire réagir agressivement même s'il se montre très rarement violent et véritablement en colère. Non, la plupart du temps c'est juste qu'il ne fuit pas, si on le provoque il répondra et ne se laissera pas faire. Et s'il a perdu un défi il fera tout pour sauver la face. ♔ Antonio n'aime pas être pressé, il supporte mal le stress, les contraintes et les obligations, il a tendance à oublier les détails de son emploi du temps, vous ne réussirez pas à grand chose en essayant de le forcer à faire quelque chose, en fait si vous voulez qu'il fasse quelque chose il y a une seule méthode, mais je ne vous la dirais pas. ♥ ❧ Talents particuliers : ♔ Antonio joue de la guitare comme un dieu. Sérieusement hein, si il avait continué il aurait pu devenir musicien, il aurait bien aimé mais le destin lui a confié le soin d'être une nation. Il danse aussi, très bien, à sa façon d'espagnol mais très bien dans son genre, oh il est parfaitement capable de se débrouiller si vous le mettez en boite, sur une estrade ou une piste de danse pour guider une jolie demoiselle. Il peut aussi se vanter de sa cuisine et de ses petits plats, il serait bon à marier l'espagnol. Il est bon dans tous les sports qu'il tente avec un peu d’entraînement et court très vite. ♔ Il n'a pas de mal à faire rire les autres, il a ce côté garnement et léger qui a tendance à détendre l'atmosphère. ❧ Habitudes/Tics : ♔ Sourire probablement, il sourit tout le temps, à vous de déceler la signification de chaque sourire. ♔ Il roule les r dés qu'il parle. ♔ Il a tendance à draguouiller et flirter souvent, c'est un romantique de base, ne vous étonnez pas s'il vous fait du charme, il le fait naturellement avec tout le monde. Plus ou moins. ♔ Il arrive 60% du temps en retard. ❧ Clubs dont vous faites partie : Foot. Cuisine (et il compte créer un club de tennis) ❧ Loisirs : Faire la sieste, faire du sport, faire la fiesta, vivre tout simplement. ❧ Poste/Emploi : Il travaille sur un chantier, ce n'est pas un ouvrier qualifié qui s'occupe des choses les plus importantes mais vous le verrez transporter des planches dans tel ou tel site de construction etc [/list] VOUS ! Oui, vous !Surnom : LineÂge : 22 soonComment vous avez connu le forum ? Des commentaires ? je me suis pas beaucoup relue il doit y avoir des phrases horribles, mais je déteste me relireVoulez-vous un tuteur ? s'il est beau, grand et sexy ouiEt pour finir, le fameux code secret ! pieds nus
Dernière édition par Espagne / Antonio F.C. le Ven 4 Déc - 14:54, édité 1 fois |
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