Invité
| Sujet: Avez vous dit romantique? : D (finis!) Dim 9 Sep - 19:33 | |
| | Au premier coup d’oeil
✯ Nom : VARGAS, Lucius ✯ Surnoms : Grand-père Rome, Papy Rome, Nonno, ô Dieu de l’Amour, « C’est lui qui a essayé de me tripoter, là-bas ! » ✯ Âge : 52 ans…et encore la grande-forme pour un grand-père, merci bien ! Il ne les fait pas physiquement ? Ah mais c’est normal mes petits chéris, il fait tout pour…et puis, il faut bien que ce statut d’Empire serve à quelque chose, n’est-ce pas ? ✯ Sexe : Avec plaisir!...bon d'accord. Masculin très chers, et il ne passera pas un instant sans qu’il n’essaye de vous le rappeler, plus ou moins subtileme--bon, pas subtilement du tout. ✯ Anniversaire : Le 21 avril. ✯ Orientation Sexuelle : Les femmes, officiellement. Et officieusement ? Lucius ne refusera jamais une bonne aventure par manque de curiosité ou à cause de quelque ‘principe’ obscur.
| Pour les Professeurs :✯ Matière : Stratégie militaire. Afin de pouvoir prendre des initiatives en tant que nation, dans l’éventualité d’un combat, il est nécessaire de développer des tactiques et stratégies contre l’ennemi ! L’étude de tactiques militaires passées et l’élaboration de nouvelles méthodes est alors primordial. Ces études se font en théorie la plupart du temps, mais étant donné qu'il faut également savoir utiliser le terrain à son avantage en stratégie militaire, des travaux pratiques ne sont pas à exclure! Et puis c'est rigolo de faire courir ces ptits jeunes.✯ Vous enseignez depuis combien de temps : Depuis 7 ans. ✯ Vous enseignez à quel niveau d'étudiants ? : A partir du secondaire jusqu’au niveau adulte. Pour un peu mieux vous connaître
❧ Pays que vous représentez : Empire Romain. ❧ Langues que vous parlez : Italien, latin...Il comprend assez bien les autres langues latines telles que l'espagnol, un peu de français...par contre, n'essayez pas de lui faire apprendre quoi que ce soit de germanique. Il a maîtrisé l'anglais pendant ses voyages mais l'emploie encore un peu maladroitement, avec un accent à couper au couteau. Il trouve que ça lui donne un certain charme....et ce ne sont pas ses amies du moment qui vont le nier! ❧ Histoire Personnelle :
Quand on lui demande de raconter son enfance, Lucius accuse beaucoup de choses pour justifier son manque de mémoire. Dépendant de l'instant, cela peut être l'alcool, l'âge ou la beauté de son interlocutrice qui le distrait. On peut l'accuser de jouer le mystérieux torturé par son passé. Mais en réalité, le romain ne préfère pas en parler, tout simplement. Oh, pas une enfance malheureuse ou traumatisante, mais celle d'un gamin dans une famille nombreuse, calé entre les aînés et les cadets...une famille modeste sans jamais être pauvre. Sa mère s'était remariée; son vrai père était parti depuis longtemps et n'avait pas redonné de nouvelles depuis. Il ne le détestait pas, malgré cela; il paraît qu'il était allé voyager, très loin, de l'autre côté de la Mediterranée et ça le faisait rêvasser, admiratif. Cette admiration se serait sans doute envolée si il était revenu le voir dans ce trous à rats, gros et plein de rides. Il en était conscient dans un petit coin de sa tête mais n'avait guère le temps de rêvasser.
"Lucius! Comment oses-tu te cacher pour ne pas aller à la messe! Et tu t'es encore battu!"
"Mais Maman, le prêtre j'le supporte pas..."
Sa mère soupira, à bout de nerfs. Elle lui aurait donné une claque, mais le gamin qui la regardait d'un air mutin était déjà couvert de bleus et de pansements divers. Le petit Lucius se bagarrait sans cesse, sans tenir compte des punitions. Dans son quartier, il traçait à la craie des délimitations de son 'territoire' et défiait quiconque de franchir cette ligne sans problèmes. Elle ne savait pas, vraiment pas où il avait trouvé cette idée. Et si ce n'était ça...il avait des rêves et des cauchemars étranges, à la fois effrayants et fascinants. Elle interdit les films violents à la télé, en espérant que cela aiderait. Et par dessous tout cela, cette aversion étrange à la religion. Et l'école primaire était tout aussi désemparée. La mère voulait de l'aide, de n'importe où, de n'importe qui...et l'aide la plus inattendue arriva de la manière la plus conventionnelle.
"T’as une lettre."
La lettre attendait, menaçante, sur la table de la cuisine du petit appartement. Alors que la mère semblait inquiète, le beau-père, un timide et banal commerçant toujours dépassé par les évènements, le fixait avec de gros yeux comme si ses bêtises avaient fait des vagues jusqu'aux Etats-Unis. Ses nombreux frères et soeurs étaient envieux, tout bonnement. . Mais sa mère ouvrait la lettre et la parcourait avec un regard déchiré entre la fierté et la possessivité, comme une louve à laquelle on allait arracher le plus jeune, son petit préféré.
"Ils...ils veulent que tu ailles représenter l'Empire Romain. Dans une...Académie aux...aux Etats-Unis. Mais qu'est-ce que ça veut dir--"
"OUAIIIIIIIS J'VAIS EN AMERIIIIQUE-EEUUH!"
Il va sans dire que Lucius était enchanté. Et peut-être un peu intimidé, mais shh...secret. Il n'avait jamais été un grand timide et après quelques larmes ravalées et quelques nuits blanches, il affronta cette "école spéciale" avec détermination. Imaginez un petit Romain de quartier modeste qui débarque dans une luxueuse Académie avec de l’énergie à revendre et pas mal de fierté aussi ; ça commença dans un grand fracas avant de…monter en intensité niveau décibels. Dire que le petit Lucius était intenable était probablement un doux euphémisme;il ne l'avait pas été à Rome et alors qu'il approchait la puberté, son énergie explosa. Sauf que maintenant, il tapait (un peu) moins tout ce qui le défiait de près ou de loin et s'efforçait plutôt de draguer tout ce qui bougeait. Quand il n'était pas prêt à faire la fête jusqu'au petit matin et boire.
Quand est-ce qu'il commença à se mettre au travail? Probablement afin de montrer à un certain rival germanique qu'il représentait une nation civilisée lui et même un Empire, oui môssieur - étant donné qu'au niveau des coups de poings échangés, ils se trouvaient à égalité. Et puis il y avait la demi-soeur qu'il découvrait après toutes ces années de silence de son père, Ceren, représentant l'Empire Byzantin. Il se devait de montrer le bon exemple. Ses sentiments étaient tendres et protecteurs, envers cette deuxième moitié d'un grand Empire. "On peut conquérir cette école...puis le monde," disait-il en riait à cette nouvelle petite soeur. Et il y en eut des conquêtes...et des rejets également qui rendaient la chasse plus passionnante. Mais il n'obtint jamais rien d'une certaine cible trop têtue, possédant une paire d'yeux méditerranéens et d'un profil de déesse grecque. En même temps, copier sur elle et imiter tout ce qu'elle faisait en arts plastiques n'était peut-être pas le meilleur plan séduction. Non, vraiment?
Mis à part ses...influences artistiques légèrement pompées, le Romain s'en était bien sorti. Il avait d'assez bonnes bases en politique et en économie, et un amour de la littérature latine le sauvait de la noyade. Mais ce qu'il préférait, c'étaient les stratégies militaires. Stratégies qu'il testait avec les filles, disaient certaines mauvaises langues, mais son organisation et sa rigueur à ce sujet étaient inflexibles.
Enfin, il était temps de partir de cette Académie et d'affronter le monde. Mais que contenait ce monde pour un représentant d'Empire déchu?
Il obtint la réponse peu de temps après dans le Quand on lui offrit un poste de professeur à l’Académie, il eut la réaction la plus mature et la plus raisonnable au monde.
"Bwahahahahahaha ! Vous êtes complètement cinglés !" ricana-t-il en reprenant son souffle, essuyant quelques larmes de rire après un fou rire qui avait bien duré quelques longues minutes, dans le silence pesant du bureau du Directeur. "Moi, devenir prof ?!J’ai rien à leur apprendre à ces gamins, et franchement rien à en faire ! C'était ça votre plan? Bah c'est tant pis! J’me casse, moi...Trouvez-vous un vieux croûton sans avenir à la place !"
Il claqua la porte avec un rire et partir vers d’autres horizons - par désir de fuite peut-être, pour se dire qu'il ne se limiterait pas à être le représentant d'un ex-empire, la preuve vivante devant ses élèves de l'exemple à admirer mais à ne pas suivre. Il connaissait la fin de l'Histoire mais ne voulait pas prédéterminer la sienne.
Pour ces raisons et d'autres, il y en eut beaucoup, d’horizons. Beaucoup de voyages, de chemins empruntés au hasard, sur le coup de tête, en se débrouillant comme il le pouvait, sautant de travail en travail. Les légendes plus ou moins exagérées rôdent, le terrain de chas-- drague se diversifie étonnamment et les premières cicatrices commencent à apparaître. Les premiers enfants, aussi, mais il ne restait guère pour les admirer.
Un horizon plus familier l'accueillit finalement : celui de Rome. L’horizon du départ, du berceau, la ville à laquelle il était inexorablement attirée, qu’il le désire ou non. Il ne voulait pas revenir vers ses anciennes origines, ses origines peu reluisante. Il fallait fuir ou changer ce que l’on avait entre ses mains, en prendre le contrôle pour le bon. Et alors qu’il se présentait face à ses frères et sœurs, ils avaient presque du mal à reconnaître le petit garçon qui était parti il y a des années, le petit garçon qui n'avait pas pris la peine de retourner en arrière pour visiter mais qui estimait soudainement que...
"La famille, c'est important!"
C'est ce qu'il déclara avec un rire et un regard charmeur en distribuant les accolades, son nouveau costume parvenant à peine à contenir un corps qui s'était musclé et fortifié, tout comme son regard, sans jamais perdre son aspect suave. C'était encore le même, avec ses tapes dans le dos et ses expressions du pays, non, rien ne semblait montrer qu'il revenait en les prenant de haut. C'est ce que tout le monde essaya de se dire alors qu'il feuilletait d'un air dubitatif à travers les formulaires du commerce que leur père avait laissé derrière lui. Un local miteux et un business de vente de produits de la région, au bord de la faillite. Ils essayèrent de se dire que l'homme encore jeune et frustré par des souvenirs glorieux lui emplissant la tête, n'était pas en train de chercher un moyen de canaliser cette ambition, de voir en sa famille un excellent prétexte. De toute manière il revenait tel un fils prodigue auprès de la mama, qui ne voulut entendre aucune mauvaise parole prononcée contre lui.
"Alea jacta est," murmura-t-il, amusé, et on lui répondit qu'il allait vraiment devoir lâcher les citations latines à deux balles si il voulait bosser avec eux. Et tout commença relativement bien. Ils avaient bientôt un plus grand réseau pour vendre leur marchandise, régla leur dettes en versant un peu de vin et de charme par ci et par là, parvenait à dénicher un fournisseur honnête comme une perle rare au sein du fumier. Il aimait faire croire au fait que tout chez lui se faisait à l'instinct. Mais il travaillait et planifiait avec soin, déléguant à chacun ses tâches. Ca ne lui suffisait guère. Il cherchait dans les moindres recoins, un moyen de...de quoi exactement? Amasser beaucoup d'argent? De succès? Mais où se trouvait ce succès? Il le cherchait partout sans en connaître le visage, décidant à la place d'accumuler toutes sortes de conquêtes afin de compenser ce vide. L'argent, les amis, les ennemis aussi. Et les amours. Ces visages se mêlaient parfois, mais il s'en accommodait. Une petite réputation commençait à se forger, qu'il cultivait non sans délectation. Un conquérant, un roi, au charisme inégalable. Il y avait bien des jaloux sur son passage, mais il les affrontait avec plaisir. Trouver quelqu'un à surpasser devint son obsession majeure, et il se plaignait sans cesse, avec arrogance, du fait qu'il n'y ait plus rien d'intéressant pour lui dans cette ville. La Ville essayait sans cesse de lui prouver le contraire.
Il arpentait les bars et les boîtes de nuit, buvant et séduisant à tout va...jusqu'à ce qu'il tombe sur elle. Il aurait aimé dire qu'il était tombé amoureux d'elle comme il le raconta à ses petits-enfants. Il leur dit que c'était un soir de pleine lune sur le bord du Tibre. En réalité c'était entre deux cocktails dans une soirée huppée et la suite...eh bien la suite était assez romantique pour lui, mais il savait que sa fille, surveillant de près chaque "histoire de papy" ne le voyait pas de cet œil. Alors il disait qu'ils avaient échangé un gentil bisou.
Papy évitait aussi de dire que généralement, il n'attendait pas de voir si il avait laissé un enfant ou non à la demoiselle du soir. Cette demoiselle était différente. Elle voulait son nom de famille ou, du moins, que ses enfants le possèdent. Il soupira et essaya de fuir comme il le faisait toujours. Mais en tenant sa première fille entre ses bras, il faiblissait. Quelqu'un avait réussi à retenir Lucius Vargas. Ca méritait un mariage.
Et il s'ensuivit une époque où Lucius était presque satisfait, presque...heureux. Les mois et le années s'écoulèrent. Tout se passait bien, il était au sommet du monde et de sa gloire, avec une compagnie qui grandissait et s'enrichissait après être partie de rien. Avec une petite famille se construisant à ses côtés. Il fit tant d'enfants qu'il aurait aimé bâtir un dynastie, carrément. Ca aurait été chouette, une dynastie. Il se voyait déjà Empereur, puis maître de Rome.
Il aurait peut-être continué à être heureux ainsi, aurait fini par déménager pour de bon avec sa petite famille dans leur maison de campagne et couler des jours heureux parmi les oliviers et les petits oiseaux. C'est ce qu'il appelait avec une ironie ricanante une pax romana. Mais cette pax ne dura pas. Du moins, pas autant qu'il l'eut espéré. Ce n'était jamais soudain, non...plutôt une longue dégradation, une fatigue qui se faisait ressentir de plus en plus chaque jour. Cela aurait été si simple de dire que d'autres, jaloux envahisseurs, avaient essayé de le renverser de son piédestal. C'était sa version des faits. En réalité, il savait bien que le problème avait commencé avec son arrogance; le problème, c'était lui, tout simplement, et la machine était en marche depuis qu'il avait remis les pieds dans cette ville. Il se disait ferme, alors que d'autres préférait le terme 'tyrannique'. Il commença à s'associer avec des individus peu recommandables, à corrompre et à se faire corrompre et à se faire plus d'ennemis que d'amis. C'était moins ennuyeux, plus dangereux...plus amusant. Après avoir été capable, plus jeune, de proposer des compromis et de faire des affaires avec n'importe qui, il se contentait maintenant de prendre tout ce qu'il pouvait et de dilapider ses ressources tout aussi vite.
"Pourquoi est-ce que tu rentres aussi tard?" marmonna furieusement sa femme à voix basse, pour ne pas réveiller leurs enfants. "Tu as encore bu?!" Il ne put que rire en réponse.
"Carpe diem, amore mio, carpe d--"
"JE T'AI DEJA DIT D'ARRÊTER AVEC TES MAXIMES!"
La Ville devenait tout aussi hostile que la maisonnée, et il partait en voyages devenant de plus en plus longs, de plus en plus lointains, la tentation murmurant son nom à chaque recoin, dans les yeux de tant de conquêtes potentielles. Et lorsque la tentation gagna, le divorce ne tarda pas. Et cela ne suffisait pas à la machine infernale qui commençait à s'emballer, non, il fallait que ses frères devenus associés s'en mêlent, se plaignent de ce que leur "empire" était devenu depuis ses humbles origines. Ils voulaient arrêter, revenir en arrière. Se débarrasser de lui et de ses méthodes, maintenant que cet empire devenu mal famé approchait la faillite.
"Ne me remerciez pas, bande d'ingrats..." dit-il d'une voix doucereuse et presque languide, un sourire aux lèvres alors que ses yeux brillaient de colère. "Si ça n'avait pas été pour moi, vous seriez encore à pourrir dans un coin miteux de Rome." Il se leva, et sa présence semblait assombrir l'atmosphère, la rendant lourde de tensions. "Vous m'accusez de tout prendre, alors que je vous ai tout donné....vous n'aviez rien à dire de ma manière de faire il y a des années, non...vous suiviez gentiment comme des moutons, et maintenant vous venez me poignarder dans le dos!" Son poing s'abattit violemment sur la table. "Je vois bien ce qui se passe...vous avez été jaloux, vous l'avez toujours été!" grogna-t-il avec un rire malsain. "Vous n'êtes rien sans moi...si je pars, vous perdez tout."
La réponse fut hargneuse. "Au moins on sera débarrassé d'un tyran."
Cette fois le poing n'était pas dans la table mais en pleine face. Il sabota le peu qu'il lui restait et s'en allait, les mains dans les poches, comptant les ennemis. Sentant le poids s'alourdir sur ses épaules au fur et à mesure qu'il essayait de l'alléger. Il voyait ses enfants en coup de vent, et semblait toujours joyeux, sans soucis à ces moments là; eux ne le voyaient pas toujours de cet oeil sans soucis. Seule sa fille aînée, sa petite préférée, choisit de ne jamais se tourner contre lui, et il la visitait souvent, elle et ses enfants. Un petit-fils en particulier qu'il couvrait de baisers tendres et de cadeaux.
Lorsqu'il parut aux funérailles de sa mère, on signa une trêve.
Mais à ce moment là, il disparut.
La famille n'eut plus aucune nouvelle, et alors que le temps passait, les rumeurs se multipliaient et se contredisaient.
Certains disent qu'il était devenu trop vieux pour se balader et avoir des aventures à droite et à gauche comme s'il avait encore vingt ans. Certains disaient qu'il était parti d'Italie pour de bon, parti en Egypte ou en Grèce où il avait perdu ce qu'il avait à poursuivre des chimères. Certains disaient qu'il était allé noyer ses soucis dans l'alcool et les femmes. Certains disaient qu'une jeune et prude catholique avait essayé de le remettre dans le droit chemin, malgré ses réticences. Certains disaient que c'était sa petite soeur, cette autre famille, chez qui il s'était réfugié. Certains disaient qu'il avait tenté de séduire une jeune allemande et qu'un règlement de comptes violent s'ensuivit entre lui et les frères de la demoiselle en question. D'autres disaient qu'il ne s'agissait que d'un seul homme, et non d'une horde, qui avait eu raison de lui. Certains disaient qu'il n'avait jamais pu se relever après cela. Qu'il était...vous savez, enfin...ce serait affreux mais et s'il était...
"...prof! Ouiii Féli, Papy est prof, c'est bien ça! Hahaha! Oui...oui j'suis désolé Féli, ça fait très longtemps..enfin...quelque mois....a-ah? Un an, carrément? Tempus fugit!...Ehh-pleure pas, d'accord? Tu es un grand garçon maintenant, t'as onze ans...! Bien sûr que je me souviens de ton anniversaire! J'vais revenir avec plein plein de cadeaux mon ptit bout de chou! Tu me repasses ta maman...? Bisou--ah! Cara mia, arrête de crier enfin...ouais...je sais, mais...euh...d'accord mais...bon, je...non, non c'est pas un mensonge, c'est tout récent! Tu sais...l'école où je suis allé quand je suis gamin? Pour nations? Je t'avais tout expliqu--" Un toussotement ostentatoire le fit relever la tête de son portable. "...Je dois partir chérie...hein? Euh ouais...je parlerai aux autres petiots ce soir, d'accord? Pff..quelle idée d'en faire quatre!" Il eut un léger sourire, son regard s'adoucissant soudainement dans un visage serein. Un visage encore parsemé de bleus et d'égratignures mais ça ne le dérangeait guère; il avait hâte d'avoir droit aux soins d'une infirmière sexy et espérait que l'Académie n'allait pas le décevoir de ce point de vue là. Au moins. Mhh. Où est-ce qu'il en était...? Ah oui. "...je te rappelerai, c'est promis. J'vous laissera pas tomber." Il raccrocha et sourit au Directeur qui attendait plus ou moins patiemment dans son propre bureau.
"...Vous ne m'avez pas laissé le temps de répondre à votre proposition, Monsieur Vargas."
"Eh...? Mais c'est vous qui aviez proposé y'a des années! Et puis comme aucun vieux croûton s'est proposé pour le poste depuis, j'suis bien obligé de revenir!" Il haussa les épaules avec un rire. "Ah et puis..."
Son ton changea, son regard ambré scintillant légèrement en fixant l'homme de l'autre côté du bureau, comme s'il avait en sa possession un secret inestimable.
"...je sais que vous allez dire oui. La possibilité de montrer en un seul être la splendeur et la décadence. Tout ce qu'ils pourraient devenir, et tout ce qu'ils ne voudront jamais être...vos petites apprenties nations." Il tendit une main vers lui, son ton calme et posé. En cet instant les yeux clairs possédaient en eux toutes les années que son visage ne trahissait pas encore. "Un pédagogue et bon stratège comme vous ne va pas résister...je le sais."
Un silence entendu s'écoula.
"C'est oui."
L'autre souffla un léger soupir; on aurait presque dit un soupir de soulagement. Avant d'inspirer avec un grand sourire, administrant une tape joyeuse sur la table.
"Génial! Je peux avoir un globe terrestre dans ma classe? Pis une mini-cave à vin? Puis...elles sont mixtes vos chambres de profs? Y'a un endroit où on peut trafiquer les lis--s'inscrire?
"...Voici déjà les formalités à remplir--"
"Ouiiille...ahh.....ma euh...sciatique se réveille..! Seul un massage tendre et sensu--professionnel peut me sauver, Monsieur le Directeur!...Votre infirmière est bien là tous les jours hein?"
"........"
Il se leva en ramassant les papiers avec un clin d'oeil et un sourire; et alors qu'il partait en claquant la porte, cette silhouette semblait plus grande, plus imposante que celle qui était entrée dans la salle, comme si un immense poids s'était dégagé de ces larges épaules. Comme s'il savait enfin ce qu'il était destiné à faire. Comme si il en venait soudainement, pendant au moins ce moment, à oublier tous ses regrets. Il ignorait encore tout de ses futures erreurs et de ses futures aventures, ignorait tout de la joie qu'il allait ressentir dans un an lorsque ses petits-fils le rejoindraient dans cette Académie qui avait déterminé le cours de sa vie. Il avait goûté à la déchéance. La chute. La fin. Mais personne ne lui avait dit ce qui se trouvait après cette fin.
Ainsi commença, et perdure encore, une carrière d'enseignant fort tardive. Celle d'un ex-Empire qui avait encore son mot à dire.
❧ Famille : Toute une tripotée de petits-fils! Comme cet adorable petit, la prunelle de ses yeux, le petit Féliciano, ahh comme il est mignon ce gamin-- hum? Ah ouais, ouais...il y a aussi Lovino. Et puis Seborga et Fabrizio. Il a aussi une demi-soeur, Ceren, qu'il chérit et protège. Si quelqu'un s'attaque aux mentionnés ci-dessus, il se prend un bon coup de poing en pleine face. Bon, avec Fabrizio c'est discutable.
❧ Vous avez l’air de quoi ? Voyez-vous ces magnifiques statues de l’Antiquité, figées à jamais dans ses postures ô combien viriles, montrant leurs corps parfaits d’athlètes ? Oh, le jeune Lucius était suffisamment naïf pour imaginer qu’une comparaison s’imposait, mais maintenant qu’il a gagné en années et en maturité, il le sait :la perfection de ces statues n’est en rien enviable, justement parce qu’elles restent à jamais de marbre. Le corps le plus beau et le plus enviable est celui qui a travaillé et sué, souffert et ressenti, celui qui est brûlé par le soleil et maculé des petites erreurs et grandes bêtises de la vie. Il a une senteur particulière, celui de la mer et du vin, peut-être un léger fumet d’huile d’olive. Et lorsque cette silhouette solide entre dans une pièce, elle n’en sortira pas sans avoir imposé ce charme et cette puissance toute physique, toute particulière. Oh, les statues des dieux grecs demeurent passives et figées, mais face à ce corps-ci, ce sont les spectateurs environnants qui ne restent pas longtemps de marbre. Que ce soit par désir de se l’approprier ou de lui mettre un bon coup de poing en pleine face.
La carrure du Romain, puissante et féline, est telle qu’il ne voudrait jamais vouloir la cacher aux yeux de qui que ce soit. Or, bien malheureusement, bien qu’il ne désire rien de plus qu’une balade en pleine ville torse nu (et moins si affinités), les bonnes mœurs, ces petites fourbes, l’obligent à revêtir des habits pour donner cours et ne pas se faire arrêter par la police au bout de cinq minutes en public. Je sais, c’est affreusement triste.
Les Dieux soient loués, Lucius sait au moins choisir des habits sachant mettre cette belle silhouette fort bien sculptée en valeur. En théorie, une veste et un pantalon, avec une belle cravate, éventuellement dénouée, sur une chemise qui semble se déboutonner un peu plus ou un peu moins en fonction de la population de jeune femmes majeures se trouvant dans la même pièce. Eh bien oui, il s’habille classe parce qu’il a compris que s’habiller comme le paysan de service n’allait jamais lui attirer les faveurs de ces dames. Et s’il porte aussi ce genre de tenue en cours, c’est surtout pour en mettre plein les yeux à ses élèves. Ce qui ne signifie pas, oh non, qu’il ne peut pas s’habiller de manière plus détendue ! Lors de ses journées de farniente ou après les cours, il aime toujours revêtir une paire de shorts longs, un t-shirt et une paire de sandales. Ça permet aussi d’en revenir à une méthode drague moins clinquante et plus sourn—naturelle, mh, voyez vous ? C’est que c’est très calculé tout ça, ma bonne dame. Et puis il faut mettre en valeur ses belles jambes musclées.
Au final, sauf exception, Rome ne se montrera jamais torse nu en public, ricanant bêtement qu’il doit dissimuler quelque peu ses charmes pour laisser une chance aux élèves masculins de s’en sortir côté amour. Mais ceux qui l’auront vu une fois sa chemise retirée verront un torse et un dos striés de multiples cicatrices ; certaines sont très anciennes, d’autres plus récentes, mais toutes sont inscrites en son corps comme un souvenir ineffaçable. Il n’en a pas honte, mais a tendance à ne pas en parler ; si on le presse, il invente une nouvelle version de l’histoire de telle ou telle cicatrice, si bien qu’il est impossible de distinguer le vrai du faux.
Mais revenons en plus bas…euh…non, plus bas encore, à ces jambes tout à fait éligible aux port de short, n’étant évidemment pas blanches et tout à fait ridicules mais bénéficiant comme le restant de sa personne, d’un beau teint méditerranéen, hâlé à souhait, lui donnant une mine resplendissante même en plein hiver. Non, non, il ne met pas une crème de nuit….mais en ce qui concerne un rouge aux joues fort sain, ne négligeons jamais un verre de vin par-ci par là ! Passons en au visage, tant que nous y sommes. Un visage qu’il serait difficile de qualifier de délicat ou de fin, mais qui conserve un charme rude et sanguin, à travers ce nez épais, ces lèvres sensuelles généralement étirées en un grand sourire, cette mâchoire forte agrémentée habituellement d’une barbe de trois jours. Un air mal rasé qui est, évidemment, cultivé avec soin : il s’agit de garder une aura de négligence fort virile, mais sans pour autant avoir une barbe qui pique ! Des cheveux bouclés et luxuriants tombent le long de ce visage, d’un brun virant sur le roux foncé, oscillant entre le chocolat et le cuivre. Seules deux petites mèches particulièrement rebelles dépassant de la coiffure d’un air insolent. Puis, finalement, sous deux sourcils sombres et expressifs, deux yeux d’un marron ambré, lumineux, vous contemplent avec intensité. Ils peuvent se faire rieurs, séducteurs ou sombres, mais ne perdront jamais de leur puissance initiale. Car malgré les cicatrices et autres leçons de vie qui parcourent son dos, c’est bien le regard qui vous fait face qui reflète tout ce que ces cicatrices lui ont appris.
❧ Ça se passe comment dans votre tête ?
Un grand père, au premier abord, ça ne met personne sur ses gardes, d’autant plus si ce grand-père est également professeur. Quoi de plus sage et rangé qu’un gentil papy qui enseigne dans la même école que ses petits-fils ? Oh mais vous feriez mieux de vous méfier. Même si Lucius peut se métamorphoser en papy gâteau dès la première occasion, il a encore toutes ses dents et toute sa verve. Toute sa stupidité de dragueur adolescent aussi, au fond, même si ses méthodes sont devenus un peu plus raffinées depuis le temps. Comme un très grand enfant qui a refusé d’enfiler une paire de pantoufles et un tweed en signe de défaite. Encore toutes ses dents, et plus vraiment toute sa tête, depuis sa folle jeunesse ? Certaines mauvaises langues le disent mais il ne s’en soucie guère, trop occupé à croquer dans la vie à pleines dents. Avec une rasade de vin et à filet d’huile d’olives. Pour lui, la coupe de la vie doit être remplie à ras bord, quitte à ce qu’un peu en dépasse et dégouline de partout…et tout passe par cette philosophie, que ce soit la nourriture, l’alcool, son penchant pour la bagarre ou son désir permanent de conquêtes amoureuses. Il semble toujours avoir une approche détendue et optimiste, un grand sourire constamment collé aux lèvres. Au premier abord donc, Lucius a l’air d’un être un peu idiot mais néanmoins inoffensif, et cette attitude en soi a son petit charme. Qui ne veut pas être près d’un homme prêt à vous faire goûter un petit plat de chez lui, un verre de vin, ou prêt à vous asséner une sérénade enjouée avec sa mandoline ? Notez que ce tempérament chatoyant risque de provoquer des effets secondaires indésirables si vous êtes coincé ou germanique, ou les deux (le cas de figure le plus récurrent). Et les autres… ? Généralement, pas de quartier ! A moins qu’on essaye activement de le défier ou de lui chercher querelle, Rome s’est calmé depuis ses premiers instincts bagarreurs et préfère prendre son temps pour rire, partager, communiquer avec les autres, partager ses connaissances. Il s’intéresse beaucoup aux arts et à la littérature, ainsi que la musique, et même si ses goûts de base paraissent un peu…archaïques, il est toujours prêt à découvrir et apprécier d’autres œuvres d’autres horizons. Et même si certains de ses penchants moraux sont moins que louables, ce n’est pas incongru de l’entendre papoter philosophie ou éthique. Un être civilisé et cultivé, en somme, qui ne voit pas pourquoi il devrait choisir entre ces plaisirs intellectuels et physiques. Envers les latins, il essaye d’adopter une attitude de grand paternel à l’écoute de tous leurs soucis, prêt à leur prodiguer toutes sortes de conseils. Ce qui peut être fort agréable quand lesdits conseils sont sollicités, un peu moins quand ils ne le sont pas. Mais est-ce sa faute si il veut leur enseigner la vie ? Et la vie passe par le vin et les rires mais également par l’amour. L’amour pour la famille, certes. Mais personne restant près de Lucius pendant plus de cinq minutes ne pourra nier son obsession certaine pour l’amour charnel. Quoique, si le Romain a jeté son dévolu sur vous, trente secondes vous suffiront peut-être pour le découvrir. Nous avons tous des buts plus ou moins glorieux dans la vie et même si le Romain ne parle pas beaucoup de ce qu’il a bien pu faire avant de rejoindre l’Académie, il s’obstine maintenant à dire que sa raison d’être a toujours été d’accumuler le plus de conquêtes amoureuses possibles. Comme Barney Stinson. Il ne passera pas une journée sans qu’il n’ait quelque femme dans ses pensées…ou quelque homme, remarquez. Il est né un catholique, famille italienne traditionnelle oblige, mais s’est senti menacé par cette religion dès son jeune âge alors a décidé de couper tout lien avec elle, se disant que de toute manière, il irait déjà en enfer pour une bonne poignée de pêchés capitaux. Ainsi oui, il s’entichera de la personne qui lui plaît sans avec besoin de l’accord de qui que ce soit, merci. L’art de la séduction ne connaît qu’une frontière ; celle d’un rejet explicite. Mais même si il perd, cet art l’amuse grandement. Qu’il soit direct ou fin stratège, cela lui permet de revêtir mille facettes. Et si certaines le traiteront peut-être de papy pervers, d’autres se prendront au jeu et n’auront pas tort. Après tout, le Romain est un divin amant. Peur de l’attachement, peur de l’amour, diront certains psychologues du dimanche. Peuh, dira-t-il, que savent-ils de tout ça ? Il est un grand romantique et aime dire qu’il tombe amoureux de chaque être qui est digne de se caler entre ses bras ne serait-ce que pour un instant. Il adore aussi faire l’entremetteur pour ses élèves chéris mais bon, ça c’est une autre histoire. Quoi qu’il en soit, que vous soyez une cible potentielle ou non, il ne semble pas connaître le concept de la distance physique et est toujours à toucher, palper, ébouriffer, caresser, câliner comme bon lui semble, très affectueux. Si vous lui plaisez bien. Parce qu’il ne faut pas oublier à quel point le Romain peut être égoïste et prôner un favoritisme détonnant. Il dira aimer tous ses petits-enfants mais montrera une préférence très nette pour Féliciano. Il écoutera et conseillera….si il n’y a pas une femme à séduire dans le coin pour laquelle il vous abandonnera sans un seul remords. Il sera un prof sympa, sauf s’il a décidé que non, vraiment, votre tête ne lui revenait pas. Et partager et rire avec les autres c’est bien, mais surtout si ces personnes savent au mieux LE mettre en valeur. Vantard et arrogant, le romain l’est sans aucun doute, toujours prêt à raconter un fabuleux exploit qui lui serait sans doute arrivé, ou d’en revenir à la gloire de l’ex-Empire qu’il représente. L’ambition et le désir de pouvoir sommeillent paisiblement au fond de son regard sans se manifester mais dès l’instant que quelqu’un le mettra au défi, cet esprit de compétition s’éveillera en sursaut tel un volcan, prêt à en découdre, que ce soit par les mots ou encore mieux, par les poings ! Car on a tendance à oublier que le Romain peut être autre chose qu’un grand Casanova doublé d’un bon vivant, derrière cette façade constamment joyeuse et affable. On oublie qu’il a été ferme, tyrannique, voire cruel. Il aime dominer la situation et les autres, que ce soit à travers son attitude imposante, ou la force. Il peut se mettre dans des colères incendiaires, folles et terribles. Le bon vivant est alors excessif et décadent, ne sachant pas s’arrêter ou s’imposer des limites. Le conseiller paternel devient férocement possessif, de peur que ses petits protégés ne l’abandonnent. Et le séducteur continue de conquérir pour ne pas laisser son âge et ses souvenirs le rattraper
Et ces sentiments, même si la leçon a été apprise il y a quelques années avec sa disparition, ne sont pas entièrement partis. Ils ne partiront jamais parce qu’ils sont en sa nature d’homme et d’Empire Romain. Il en est conscient, et le regrette même si ce regret est très rarement émis. Mais il y aura des instants néanmoins, où cette lucidité transparaîtra au grand jour. Le temps d’une sage parole, d’un véritable conseil, empreint à la fois de tendresse et de mélancolie. Et c’est en cet instant, ce qui fera de Lucius bien plus qu’un grand-père qui veut rester jeune. C’est ce qui fera de lui un homme qui a vécu en gagnant et en perdant, et qui a su retenir ce qui était essentiel.
❧ Ce que vous aimez : L’alcool, les femmes, l’amour, la bonne nourriture, la fête, la baston, ses petits-fils et tout le reste de la tripotée latine…tout ce qui rend la vie intéressante et amusante, quoi ! Ah. Et puis il aime aussi la littérature latine. Ben quoi ? Ca aussi c’est très fun, non ? ❧ Ce que vous n’aimez pas : Astérix Les germaniques en général, la langue germanique, l’eau, la vieillesse…la religion lui tape souvent sur les nerfs aussi...Vatican aussi donc, par extension.
❧ Talents particuliers : Chanter,exaspérer ses copains germaniques et nordiques, dessiner et peindre aussi, sortir des citations latines à tout va comme un Triple-Patte. Aux pires moments, généralement. Si quelqu'un reconnaît la référence je l'aime et je le kidnappe sur mon aigle romain qui sparkle. ❧ Habitudes/Tics : Il a pour habitude de boire beaucoup de vin, ça compte ? Et puis assaisonner à peu près tout avec de l’huile d’olive. Sinon niveau tic, il y peut rien si il fait un clin d’œil à toutes les jolies filles hein, c’est devenu automatique à force…
❧ Clubs dont vous faites partie : Il passe beaucoup de temps aux clubs d’arts et de cuisine, pour piquer dans tous les plats, y ajouter de l’huile d’olive et du vin rouge, ou pour suggérer bruyamment qu’il faudrait embaucher une modèle pour un cours de nu. Il appelle ça ‘superviser’. Ne le contrarions pas dans cette définition. ❧ Loisirs : Cuisiner des plats un peu farfelus, draguer, chanter, faire la fête. ❧ Poste/Emploi : Ah mais non, une fois qu’il a terminé son boulot de prof il ne fait plus rien de constructif, lui ! Voulez vous épuiser un pauvre papy ?!
VOUS ! Oui, vous !
Surnom : Le Fouetteur Masqué Qui Sparkle Âge : Fromage Comment vous avez connu le forum ? Au cours d’une réunion des Fouetteurs Sparklants Anonymes Des commentaires ? Si votre personnage a quelque lien affectif/familial avec le mien, n’hésitez pas à remettre en question quelque chose que j’aurais écrit dans l’histoire perso : D Ou alors on peut en parler directement ci-dessous/par MP ! ...Ah oui, et je crois que le code du forum veut ma peau. 8D Et pour finir, le fameux code secret ! {Des cothurnes Y’en a paaas 8D} [i]
Dernière édition par Autriche / Roderich E. le Sam 15 Sep - 14:41, édité 33 fois (Raison : Je suis sexy) |
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