BIENVENUE DANS LA DEUXIÈME SALLE, MAUDITS ELEVES. VOUS AVEZ PERDU LE PLUS INTELLIGENT DU GROUPE, NON ?
HRP
C'est parti pour la deuxième salle ! (avec TURQUIE mort)
N'oubliez pas que le personnage correspondand à la légende utilisée dans cette salle a plus de chances de mourir, faites attention à vos choix !
"Se trouvant au Nord-Est de l'Algérie, le Hammam Meskhoutine, ou bain des damnés, est un site bien curieux. La légende prétend que le plus grand guerrier de tous les temps voulait y commettre le sacrilège d'y épouser sa sœur. Horrifiés, tous les habitants de la région s'enfuirent pour ne pas assister aux macabres réjouissances, mais certains choisirent le camp du guerrier.Sur la colline où devait se dérouler les noces, tout était prêt, les invités étaient présents, un Cadi avait même accepté de les marier. Lorsque les habitants revinrent, ils découvrirent une scène épouvantable : tous avaient été changé en pierre. Le guerrier qui pensait pouvoir défier les lois des hommes et de Dieu, sa sœur, les invités, et même le Cadi qui avait cherché à s'enfuir, tous étaient pétrifiés pour l'éternité, une punition divine pour l'orgueil démesuré du guerrier."
Vous pénétrez dans un gymnase sombre, éclairé seulement par des centaines de bougies déposées au ras du sol. La chaleur ambiante est étouffante et une désagréable odeur de souffre se dégage de l'endroit. Les lieux sont radicalement transformés, à la place d'un espace vide, vous voilà maintenant face à une armée de statues grossièrement taillées, reflétant une étrange mise en scène, vous devinez une cérémonie, un mariage sans doute, car deux statues sont côtes à côtes face à une troisième sculpture, derrière eux une petite armée de pierre semble attendre depuis des milliers d'années de pouvoir enfin quitter les parages. Rien de bien inquiétant, à moins que vous soyez facilement impressionnable. Mais soudain une voix rauque retentit, caverneuse.
- Vous n'êtes pas invités, misérables cloportes. Que ceux qui osent troubler mon mariage s'avancent et viennent me rendre hommage, à moi, le plus grand guerrier qu'Allah ai vu, le meilleur que porte cette terre de lâches et de faibles ! Avancez vous et rendez-moi hommage ou préparez vous à périr de ma main !
Ah oui, la plus massive des statues vient bien de parler, vous n'êtes pas encore fou. Que décidez-vous de faire ?
Vous avancez gentiment pour lui cirer les pompes, ça n'a pas l'air du genre de gars avec qui on peut parler raisonnablement
Vous l'insultez, non mais il a cru quoi là, que c'était la fête à Oran ??
Euh, c'est une statue. Allô quoi. Vous l'ignorez et cherchez la sortie.
Vous lui dites que sa fiancée est moche et qu'[Indonésie ou Italie du sud] est bien plus mignonne, s'il vous laisse tranquille vous lui filez gratos pour sa nuit de noce.
HRP
A vous de jouer ! Vous avez 2 jours pour RP, faire interagir vos personnages, et opter pour une des quatre options avant que le temps ne soit écoulé ! Si aucune décision n'est prise avant la fin du temps reglementaire, l'élève le moins actif sera transformé en fantôme.
Turquie est « mort ». C'est, comment dire, SUPER HANDICAPANT.
Alors certes, l'épreuve de la légende turc est passée, donc en principe, l'utilité de sa présence est devenue un peu proche de zéro, mais quand même... ! À chaque membre de perdu, c'est un pas en plus vers la défaite ! Et puis quitte à perdre quelqu'un de l'équipe, pourquoi pas plutôt Portugal ou Algérie ? En tout cas, il était hors de question de faire en sorte que l'un des deux ne s'en va à son tour : avec une personne de moins, gagner était moins sûr. C'est donc en se mordillant les lèvres qu'Ayunda entra dans le gymnase.
Encore un personnage uluberlu dont il faut respecter le « rituel » si l'on veut survivre. Indonésie le savait très bien. Si elle voulait passer sans encombre, le mieux était encore de « respecter » l'esprit, et de lui baiser les pieds pour s'en sortir comme une fleur. Le soucis c'était que... Ayunda faisait souvent du chichi. Et venir se mettre à genoux aux pieds d'une statue en pierre, même possédée, il en était hors de question ! Si encore elle avait vraiment les jetons, ça passait, mais là, pour une légende algérienne...
Elle fixa d'un œil plutôt mauvais la pierre parlante.
« Il m'gonfle déjà. »
Puis, avec BEAUCOUP de regrets, elle se tourna vers Hassan, qui après tout, était le plus apte à répondre correctement à l'énigme. Courage, avec un peu de chance, elle fera davantage ses preuves la prochaine fois.
Il aurait surement rigoler la mort de merde de Sadiq mais faut toujours respecter les morts. Vazy qu'il rentre dans le gymnase qu'ils se sont incrusté dans les mariages, genre ils sont pas invités ! C'est open-bar les mariages rebeu, tout le quartier est invité et on bouffe -et on ne ramène pas de cadeaux, cela va de soi-. Pour l'instant il crève de chaud, il enlève son haut et lui manque plus un savon noir et un gant qui arrache la eau morte -ou la peau tout court- et c'est comme à la maison.
Il regarde l'homme qui allait épouser une femme, ça lui rappelle une légende mais il ne sait pas trop quoi. Il fait chaud, y a une ambiance de merde et l'asiatique ll le gonfle plus au point, il veut VRAIMENT s'en débarrasser. L'algérien va tenter une approche fraternel, ce petit truc que font les rebeu
« Roya -frère-, meskine, tu vas pas épouser cette femme, tu vas la rendre malheureuse. Allah a créer des milliard de femme pour que tu en choisis une parmi elle hormis ta soeur. » Il parle en arabe dialecte algérien pour qu'il est confiance. « Regarde, y a une belle femme ici ! Elle porte un nom bizarre Ayunda, Indonésienne et t'es sur que sa famille ce sont des musulmans ! »
Comme un gros bâtard qu'il est, il pousse Ayunda vers la statut et va essayer de filer avec Lovi' vers la sortie ~
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Sujet: Re: JOUR 2 - LE GYMNASE Mar 4 Nov - 17:13
Et voilà le turc est mort. Non pas qu'il allait le pleurer il ne faut pas rêver on plus mais ça allait juste rendre les choses un peu plus difficiles. Tout ça pour arriver au gymnase où il régnait une chaleur étouffante. Certes l'italien aimait et était habitué au chaud mais là c'était trop comme si on avait détruit le thermostat de la pièce !
Si ce n'était que ça. Il observa les statues dont la disposition semblait lui rappeler celle d'un mariage avant de ... oh hé c'est bien une des statues qui venait de leur parler ?! Lovino se frotta les yeux pour s'assurer qu'il n'était pas victime d'une hallucination. Ah bah non. Le fait qu'ils jouaient aux invités non désirés ça il s'en moquait pas mal.
En entendant Hassan parler il fronça légèrement les sourcils sans comprendre un seul mot de ce qu'il racontait. La langue arabe il ne connait pas. C'est presque comme écouter un film en VO en ayant aucune idée de se qu'il se passe.
" 'tain on peut m'expliquer c'qu'il raconte merde ?!!! "
La réponse arriva plus vite qu'il ne le pensait. Le fait de se faire un peu traîner alors que l'asiatique se faisait gentiment envoyer vers la statue disons que tu captes vite ce qu'il passe ! Bien sûr il n'allait pas se laisser désirer pour suivre Hassan vers la sortie, il est pas fou non plus !
Il murmure à son tour, en serrant son BFF contre lui en regrettant le fait qu'il ne soit pas une de ses bella pour profiter une éventuelle poitrine coller à son torse <3.
« T'inquiète, c'est une asiat elle sera s'en sortit, c'est de trucs d'asiat d'être fourbe. Puis elle gêne tout le monde, qu'elle se sacrifie pour la bonne cause merde ! »
Parce que lui il sert à quelque chose peut-être ? Son orgueil va le faire mourir à tout les coups.
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Sujet: Re: JOUR 2 - LE GYMNASE Mar 4 Nov - 19:11
Portugal entrait dans la pièce, encore sous le choc. Il resta, à vrai dire, les yeux rivés sur la porte qu'ils avaient brutalement refermé sur Sadik. Leur pas saccadés, leur souffle irrégulier, puis un claquement de porte et voila qu'il avait perdu leur grand turc. Il resta quelque minutes, comme ça, fixe sur ses deux jambes à ne rien faire. Il n'allait pas pleurer, non, car il savait que tout ça n'était qu'un jeu stupide. Il n'aurait simplement pas du y participer. Il regrettait un peu mais maintenant qu'il y était, il n'allait pas se laisser faire si facilement. Au moins pour porter l'honneur de Turquie. Alors qu'il commençait peu à peu à se faire une raison, une voix grave, faisant bruyamment écho dans toute la salle, le sortit bien vite de ses pensées. Il fit littéralement volte-face, le corps alerte à toute attaque possible. La mort de son ami l'avait vraiment mis sur les nerfs.
Mais ce n'était même plus de la colère qu'il se lisait sur son visage mais plutôt une grosse incompréhension. Quelqu'un pouvait juste lui expliquer qu'est-ce que c'était que cet endroit?Il fronçait les sourcils, paraissant vraiment confus en ce moment même. Puis son regard détaillait la scène, cherchant désespérément le sens de tout ceci. Un homme, une femme se faisant face, toutes ses statues visiblement spectatrices. Très visiblement un mariage. Mais alors d'où venait cette voix?Quand même pas de cette statue?
Désespéré par la situation, il se prit la tête entre sa main droite et soupira longuement. Et les voila encore partis pour une de ses aventures loufoques pour lesquelles ils s'étaient tous inscrits. Quels idiots ils faisaient tous...
Mais quelque chose attira son attention et c'était grâce au petit Hassan. Encore lui?Mais il ne s'arrêtait donc jamais. Ses yeux suivaient ses mouvements et malgré qu'il ne comprenait pas ce que pouvait dire l'algérien, il s'y intéressait. Il espérait au plus profond de lui qu'il n'allait pas dire quelque chose de travers qui allait certainement tous les faire périr. Ses inquiétudes se confirmèrent très rapidement quand il vit qu'Ayunda se fit littéralement jeter sur la statue. Et alors tout s'éclairait; elle venait de se faire donner en offrande à cette-...QUOI?Mais c'est pas du tout du travail d'équipe ça!Il grogna et jeta un regard menaçant comme il sait si bien les faire à l'algérien, accompagné d'une magnifique doigt d'honneur.
Alors c'était ça son plan?!Donner l'indonésienne et fuir la queue entre les jambes?Il devait ne ressentait pas vraiment de bons sentiments en l'égard de la jeune fille mais un minimum de principe. C'est une fille après tout et puis c'était totalement lâche de leur part. Et puis, perdre un membre de leur équipe était se rapprocher un peu plus de la défaite et aussi mauvais joueur qu'il était, il n'allait pas les laisser faire. Lui n'allait pas la laisser.
C'est alors qu'il s'élança entre la foule de statues, se cachant derrière elles, une par une pour arriver tout près de la fameuse statue qui leur avait parler, bien cacher derrière l'une d'entre-elles. Oui, il était assez prêt pour-..
Compte à rebours...Dans 3...2...1...GO!Il sortit soudainement de sa cachette, bondit sur la statue, sa jambe toute tendue et donna un énorme kick dans la statue pour la faire tomber et qu'elle s'explose en morceaux. C'était la seule solution qu'il avait trouvé. Après tout qui ne tente rien n'a rien.
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Sujet: Re: JOUR 2 - LE GYMNASE Mer 5 Nov - 6:51
Tout s'est déroulé trés vite.
C'est la deuxième fois qu'Hassan tente un coup vicieux avec Ayunda... Il essayerait pas un peu de se débarrasser d'elle, des fois ? Même s'ils s'apprécient assez pour se crever les yeux, l'indonésienne ne jouerait jamais de cette façon. C'est pas trés fair-play et EN PLUS ils sont dans la même équipe ! Il semblerait que pour l'algérien, tant que lui et Lovino survivent, tout va bien. Hélas l'équipe n°2 ne gagnerait pas avec un score pareil. La voilà donc poussé vers la statue, et même sans comprendre ce qu'il raconte, elle tilta rapidement qu'elle était offerte en sacrifice. Pensant perdre l'équilibre une seconde, elle se ravisa et tourna aussitôt la tête vers lui.
« Hé, gentleman du dimanche, t'en a pas marre de m'faire chier même quand ça nous concerne p-- »
Elle fut coupée dans sa phrase en remarquant la statue, bien devant elle, basculer. Confuse, elle se décale d'un grand pas sur le côté, juste à temps, avant de recevoir la pierre en pleine tronche ou même tout son long sur elle. La statue tomba, et avant même de voir si elle était brisée ou simplement abîmée, l'indonésienne chercha la cause du regard.
« ]Mais ?! »
Ça aussi, ça fait partit de la mise en scène... ? Elle trouva la silhouette du portugais, qui avait subitement changé de place... Non ?! Ayunda explosa :
« MAIS T'ES CON OU QUOI ? Je rêves, je savais déjà que t'avais une case en moins mais là t'en tiens une couche ! Abruti ! »
Si on était dans la vraie vie, alors l'improvisation aurait été possible. Mais ici, dans ce jeu, il devait y avoir des règles cachées, établies dans l'ombre... Et le pire de tout, Portugal avait agi sans demander l'avis de personne.
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Sujet: Re: JOUR 2 - LE GYMNASE Jeu 6 Nov - 20:02
Après avoir donné un violent coup de pied dans la statue, il s'écrasa lourdement par terre, la tête la première. Il se prit l'arrière de la tête entre ses mains, tout recroquevillé sur lui-même en grognant de douleur. Il s'était pas loupé. Alors qu'il reprenait peu à peu ses esprit, le cri de l'indonésienne le fit littéralement sursauter.
-"Quoi-quoi?" balbutiât-il alors qu'il laissait enfin sa tête tranquille.
Il releva son regard pour détailler Ayunda et se remémorer ses paroles pour faire la part du pour et du contre. Puis il grinça des dents. C'est vrai qu'en y réfléchissant, c'était peut être pas la meilleur idée qu'il avait jamais eu d'avoir mais il avait essayé de la sauver, c'était déjà ça. Puis il se mit à paniquer. Si c'était à lui de perdre pour ça, alors au moins qu'ils partent tous en courant, histoire qu'il ce soit pas sacrifier pour rien.
"BARRE-TOI IDIOTE!COURS, COURS!!"
Maître du Jeu
god
Messages : 72 Date d'inscription : 05/09/2014
Sujet: Re: JOUR 2 - LE GYMNASE Mar 18 Nov - 15:53
FELICITATIONS AUX SURVIVANTS. MAIS LA MORT EST PATIENTE ET LA NUIT N'EST PAS TERMINÉE
Vous avez choisi :
Vous choisissez d'agresser la statue, pire que verbalement, vous choisissez la force brute. _____
La statue tombe, et se brise alors que le bâtiment se met à trembler ? La voix qui semblait émaner de la statue se lève de nouveau, cependant impossible d'en déterminer la provenance, comme un voile sinistre vous enveloppant.
- MISÉRABLES. VOUS M'AVEZ OFFENSÉ. SOYEZ CHÂTIÉS POUR CELA !
Un guerrier surgit, seulement mut par la fureur qu'un de ces jeunes ait eu l'audace d’humilier ainsi son maître. Il saute sur le fautif, menaçant, il l'attrape sèchement, hurlant de colère et emporte le Portugais dans l'ombre avec lui alors que ses camarades effrayés fuit le lieu qui tremble dangereusement.
Vous quittez le gymnase. Vous êtes en vie, pour le moment, mais vous avez encore perdu l'un des vôtres.
Portugal meurt ! Il fut bien mal avisé de vouloir ainsi de respect à ce fantôme arrogant, quand on sait que le silence est le meilleur des mépris.