Invité
| Sujet: Cod O'Porto :: Portugal Ven 16 Nov - 22:55 | |
| | Au premier coup d’oeil
✯ Nom : Tiago Filipe Fernandez Porteiro ✯ Surnoms : Porty, Port, Porto, Portu. Et tout une autre portée de variantes dans le même esprit...! Sinon, y a Tia pour les intimes. ✯ Âge : 18 balais ✯ Sexe : Masculin, wesh. ✯ Anniversaire : 10 juin 1994 ✯ Orientation Sexuelle : Les madames. ✯ Niveau Scolaire : 19-20 - Cycle avancé 19 balais en 2013, c'est bien comme ça qu'on avait réglé le truc ou j'me gourre ? (ce qui est fort possible)
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Pour un peu mieux vous connaître
❧ Pays que vous représentez : L'Portugal. ❧ [b]Langues que vous parlez : Portugais, qu'tu crois. Puis l'anglais. C'est tout. C'est déjà beaucoup trop pour lui. Bon, la logique veut qu'il arrive à communiquer avec un espagnol. Mais c't'un grand mythe, sisi … ❧ Histoire Personnelle : Il descend les rues en riant. Il saute, court, tourne, se colle au mur. Il est suivi. C'est la mafia qu'il a aux trousses, car il a volé quelque chose dans leurs locaux. C'était dangereux, mais nécessaire. Après tout, il est le héros de cette histoire. Le héros doit toujours s'y mêler. Il s'en sortira toujours aussi. Mais là, pas le temps d'y penser : il est poursuivi. Il court, évite les grands-mères et les trentenaires bien sapés. Ils perstent, crient, soupirent. Mais ils ne comprennent pas l'importance de sa mission. Il doit atteindre la dame avant eux, pour qu'il puisse la sauver … Et lui remettre le colis. Mais boum, sa course s'arrête : il s'est pris un mur.
« Tiaguinhoo ! »
Il entend la voix de la madonne. Il se relève, en titubant. Aïe, il s'est fait mal… Un peu de sang coule de son nez, il renifle. Et il se remet à courir. La dame est bien habillée, dans une robe jolie et serrée. Elle a relevé ses cheveux bouclés en un chignon, une mèche s'en échappe. La dame est très belle. Sauf quand elle affiche cet air offusqué.
« Tiago ! Mais qu'est-ce que tu as encore fichu ! Non, mais regarde moi cette tête ! Tu es encore tombé ? »
Il ne répond rien, il a sa fierté de petit garçon. Elle sort un mouchoir de son sac et lui essuie vigoureusement le visage. Sa force de gamin de 10 ans n'arrive pas à vaincre celle de sa mère : sa tête est balancée dans tous les sens.
« Mamaaaan… - Tcch, tchhh ! Ne dis rien ! Je t'avais dit de rentrer vite sans faire de bêtises ! On doit partir ce soir, il fallait que tu sois propre …! Oh mon Dieu, on va avoir du retard ! »
Maman s'inquiète toujours pour ce genre de choses. Elle dit que le caractère portugais finira par déteindre sur elle. Elle a toujours peur du retard. Son père sort de la maison, ferme la porte. Sa mère ouvre la porte de la voiture, et dit à son fils de se dépêcher. Il soupire, gromelle quelque chose et s'installe. Il déteste cette voiture. Elle signifie “On va voir la famille de maman”. Et la famille de maman, c'est la famille en Espagne. Et bon Dieu qu'il déteste cet endroit ! Là-bas, il y a les bonnes dames, les tantes un peu ronde qui lui tirent les joues. Il y a la tante qui a un enfant, de son âge, et l'oncle, qui est gentil, mais bon, trop espagnol au goût de l'enfant. Son cousin, il ne l'aime pas. Il ne le déteste pas non plus, mais… Tiago ne sait pas. Il ne l'aime pas, c'est tout. Il n'a jamais su pourquoi. Mais il va falloir qu'il supporte ce week-end. Maman est gentille, il lui doit bien ça. Papa, lui, il ne parle pas beaucoup. Il n'est pas souvent là non plus. Mais il est gentil aussi.
« Tiaguinhoooo ! »
Maman a l'air plutôt fatiguée, elle porte un chignon serré. Pas une mèche ne sort. Mais on voit d'ici les cheveux gris. Maman commence à vieillir. Son grand fils s'approche d'elle et la serre dans ses bras. Il est loin le temps où il était plus petit qu'elle. Maintenant, c'est un grand garçon, il a 18 ans. Il rit un peu et elle aperçoit le bleu sur sa joue. Elle le gronde. Son père est dans la cuisine, il va le saluer. Et ils se mettent à parler de l'école, de l'académie, là où il est depuis 6 ans. Il y vit bien. L'ambiance est sympa et oui, il s'en sort en cour. Mais non maman. Pas de petite-amie. Et non maman, ne me regarde pas comme ça, pas de petit-ami non plus. Elle est gênée, et retourne dans le salon. Il rit encore, c'est la même histoire, tous les ans. Puis, il se met à parler de son enfance. Son père lui répond sagement. Ils parlent des bêtises qu'il faisait, des voyages en Espagne, des week-ends en camping, de la mer, des parties de pêche qu'ils se sont fait, de son premier verre - mais ne dis rien à ta mère -, de son ancienne école qui devient vieille, de la voisine qui a déménagé, du chat blanc … Ils parlent comme ça pendant des heures, sans s'épuiser. Puis, ils parlent de sa mère, qui avait voulu un autre enfant, mais qui n'y arrivait plus. Ah, ce sont des choses qui arrivent, dit son père. Maintenant, elle travaille, elle y pense moins. Son père a l'air un peu déçu, Tiago se lève pour lui tapoter le dos. Et sa mère revient dans la pièce, pour les virer de là : c'est l'heure de la cuisine. Soit tu aides, soit tu dégages. Son père va dans le salon. Tiago reste pour l'aider.
❧ Famille : Oune maman, oune papa. Maman vient d'Espagne, et là-bas, Tiago a un cousin. L'destin a de l'humour, le cousin est ici, à représenter l'Espagne. Wow.
❧ Vous avez l’air de quoi ? Assez ordinaire comme gars. Du moins, c'est le cas chez lui. Mais ici, il ne trompe personne. D'abord, il n'est pas spécialement grand. Il trouve que son mètre soixante-treize, ouais, quand t'as son âge, ça craint un max'. Mais ça tombe assez bien, les filles ici, elles sont pas bien grandes non plus. Alors, c'est cool. De toute façon, il gagne bien un ou deux centimètres en masse capillaire, et disons, un autre en semelles. Nan, en vrai, ça change rien du tout. Même si c'est fait exprès. Les cheveux, c'est tout un art. Déjà, c'est bourré de bouclettes. S'il fait pas attention, ça vire en mode casque, et c'est franchement pas terrible. Ou alors, ça lui donne un air de rouquin qui a mal viré. Et ça non plus, c'est pas terrible. Lui, il se coiffe bien, tous les matins. Il peigne sa tignasse, passe un peu d'huile qui sent bon et tout, et tout. Qu'est-ce que tu crois, toi ? Mais du coup, ça ressort super bien. Ca brille un peu. Mais ça va, il y a les cheveux sombres et tout doux, ça donne pas trop d'effet gras - parce que celui-là, c'est presque pire que l'effet rouquin -. Il se coupe rarement les cheveux, ce qu'il fait que généralement, il finit par avoir une vraie masse qui lui retombe sur la face. Ca fait moins casque. Ca a un côté classe, qu'il dit, mais il faut faire attention. Trop long, et franchement, c'est pas cool. Il a déjà eu une phase avec la couette, mais il a fini par arrêter. Plus long à coiffer, puis, sous la douche, il s'est déjà fait peur à lui-même en apercevant une meuf, dans le miroir. - enfin, c'est ce qu'il a cru voir, hein -. Alors, depuis, c'est un peu long, des fois, mais pas trop. Le reste du temps, c'est plutôt court, quand c'est tout frais de chez le coiffeur. Des moments durant lesquels il shine sa mère.
Il shine pas trop, en dehors de la tignasse. Disons qu'il a le visage bien banal. Un pif, pas tout à fait fin, pas tout à fait gros, et qui se redresse un peu. Des yeux, grands, noirs, longs cils et tout le toutim. Enfin, vraiment le truc par défaut. Les sourcils, ça change déjà. C'est assez fourni. Pas au niveau de l'anglais, oh Dieu non ! Quelle horreur ... Mais quand même, un peu. Puis, le reste, je vais zapper, y a rien à dire. Outre que c'est un gars à fossettes. Oui, t'as bien lu, à jolies fossettes même, quand il sourit. Et ça par contre, ça arrive tout le temps. Il shine de la joue. Physiquement, c'est pas vraiment le genre qui marque. Parce que déjà, comme je l'ai dit, il est pas grand, et puis ensuite parce qu'il a pas vraiment une carrure impressionnante. Ok, en fait, il est même loin de là. Il est fin, pas vraiment musclé, se rattrapant grâce à une certaine largeur naturelle - ce que ne ferait pas la génétique pour vous aider -. Il a pas le derrière espagnol, et pour être sûr que ce soit terrible, genre, on lui a collé la pilosité nationale. Je donne pas de détails. Mais disons qu'il s'épile pas, et que franchement, ça se voit. Beaucoup. Le pire, c'est qu'il est super brun. Tu peux pas le louper. Ou les louper. Mais c'est vrai que ça se voit moins l'été. Miracle de la vie, c'est qu'il bronze comme il respire. Léger mate l'année, pof, il vire à un vrai brun l'été. Il aime bien ça, lui. Le teint caramel, il est pas donné à tout le monde. Bon, ok, ici, à pas mal de gens. Mais si on restreint le truc aux européens... C'est rare ! Hein ? Le reste, c'est que des blondes.
Puis, en dehors de ça, il a rien de spécial. Pas de marque, pas de cicatrice, que dalle. Bon, peut-être un truc ou deux, genre, bobos mal cicatrisés, qui fait des petits traits plus clairs. Mais genre, bien paumés. Et qui se voient pas trop. Ouais, non, il détonne pas des masses. Après, il arrive souvent qu'il ait un bleu, ici ou là. Dans le caractère, c'est dit. Il passe sa vie à l'infirmerie. Il aime bien le coin, faut croire.
Le portugesh, il se rattrape à peine avec ses tenues. Je résume : chemises, jeans, point. Avec des tongues l'été, des baskets l'hiver. En touriste. Il s'en fiche un peu, en fait. Ca le gênerait pas plus que ça, de venir habiller à la maltaise - c'était une vanne pourrie gratuite pour toi, Madd -. Sans déconner. Les paillettes et les jupons, ça lui fait pas peur. Tant que c'est pour le fun. Dès que les gens prennent le truc au sérieux, là, il prend la mouche. Nan, faut pas déconner, c'est un mec quand même. Pas une gonzesse. Si, si. Carrément.
Mh.
❧ Ça se passe comment dans votre tête ? La musique résonne dans les couloirs du bâtiment des dortoirs. C'est un quelque chose d'habituel ici. Ce repère d'adolescents en pleine crise de rébellion venus des quatre coins du monde, ce repère où la musique de racaille fait se mouvoir les murs au rythme d'une batterie bien trop forte ... Oh mais vous ne savez pas encore le pire ! C'est que cette musique... Elle est accompagnée d'un chant en langage barbare ! Oh non, cela aurait été trop dur pour eux de choisir des chansons normales, avec une langue normale telle que l'anglais... La musique résonne. Et vint se superposer à elle la voix cassée d'un étudiant visiblement très inspiré.
« E UM SONHO TÃÃOOOO REAAAL, E UN SONHO PRA MIIIMM…. !! »
Lui, il fait partie des derniers à aller en cour. Il a même cette règle, comme quoi il faut toujours sauter la première heure. Ca permet de se donner un genre. Lui, il dit que c'est cool. Et que de toute façon, pour aller en cour, il faut être dans l'humeur. Cela prend du temps, de s'y mettre, dans cette humeur. Cela prend cinq chansons assourdissantes, qui commencent dix minutes après le début des cours.
« NÃO IMPORTAA O QUE DIIIIIIIIIZEEEEEM, E UM SUNHO PRA MIIIIIIIIIIIIIIIIIIIM … !! »
Il chante terriblement faux. Mais il s'en fiche pas mal. À vrai dire, il se fiche de bien des choses. Mais le pire, c'est qu'il se fiche de l'école. Il fait partie de cette bassesse étudiantesque qui pense qu'ils réussiront tous, qu'ils bossent ou non. Il prie sur la chance, cela se voit bien à ces notes. Il aurait pu redoubler, celui-là, et plusieurs fois ! Mais il s'en échappe toujours. Il faut croire qu'il finit toujours par trouver cette révélation révélatrice, ou du moins, qu'elle finit par lui tomber dessus. Et ses appréciations l'aident bien ! Alors oui, il ne bosse pas du tout - et bon Dieu que c'est frustrant de voir autant de fainéantise - mais il reste un élève agréable. C'est ce qu'il le sauve. Ses grands sourires, son oreille bien tendue en cours, et lui qui écrit bien les leçons... Du moins, bien, bien selon lui... Mais il ne fait jamais rien d'autre. Ce n'est cependant pas le genre d'élèves que vous trouverez à la bibliothèque, ah ça non ...
« ESTOU NA SURREAL, NOUTRA DIMENSAOO, ENTROUA NO ACREDITAR, NAO HA ILUSAO ~~ »
Il se fiche aussi de ce que pensent les autres. Et surtout ce qu'ils pensent de lui. Des fois, il veut bien vous écouter. Mais la plupart du temps, c'est lui qui parle. Il se fiche bien de savoir si vous voulez l'écouter ou non. De toute façon, il ne vous laisse guère le choix. Dès qu'il vous a mis le grappin dessus, il ne vous lâche plus. Et il parle, il parle, il parle... Et qu'est-ce qu'il radote ! Et que c'est ennuyant ! C'est fou ce qu'il est capable de broder, sur des sujets aussi stupides et ... Inintéressants ! Vous voulez bien vous enfuir, mais vous ne pouvez pas ! Il a la main posée sur votre épaule, ou sur votre bras. Il ne faut pas y voir une drague un peu foireuse. Il n'y pense pas toujours. Disons, cela lui vient à l'esprit, une fois sur trois. Mais le reste du temps, il est tout à fait honnête. C'est juste un gars de contact. C'est "pour aider le courant à passer". C'est comme ça qu'il se fait plein de potes. Ou du moins, qu'il croit s'en faire. Faut dire, c'est toujours un peu flou tout ça.
« E UM SOOOOOOOOOHPUTAIN »
Un bruit sourd et des rires. Il vient de tomber de son lit. Mais cela ne semble pas l'inquiéter. Bientôt, il se remet à beugler. De ça aussi, il s'en fiche. La bagarre, les petits bobos.... Il s'en vante presque. Quel mec normal en aurait honte ? Ca prouve qu'il n'est pas sensible comme une meuf l'est. C'est un dur. Un vrai. Mais il ne faut pas se méprendre ! Quand vient l'heure des poings, il ne fonce pas tout de suite. Juste quand cela le concerne. Et quand cela peut tourner à son avantage, après. Non pas qu'il y réfléchisse vraiment. Mais tout ça, vous savez, c'est une affaire de feeling. Il tape jamais le premier. Ou seulement quand on va trop loin dans les taquineries. Appelle le comme une meuf, tant que c'est cliché, drôle, bien placé, ça va. C'est marrant. Passe la barrière du sérieux, et il te sautera dessus. Faut dire que c'est con. C'est toujours lui qui passe le plus de temps à l'infirmerie après. C'est là que vous le trouverez, le plus souvent. Ou sur les toits. C'est le coin des racailles, qui enchaînent clope sur clope. Lui est plus modéré, avec les clopes. Il dit aussi que c'est la seule demoiselle qui ne lui fera pas de faux bond. Les autres, il les aime bien. Il les aime même beaucoup. Mais elles sont tellement inconstantes... ! Et lui aussi, de toute façon, il est trop inconstant.
« LALALAAA LAAAA, LA LA LAALAAA ~~!! »
La musique s'est arrêté, le voilà qui s'agite. C'est l'heure d'aller en cours. Il est tard maintenant. Disons que la première heure va bientôt se terminer. Il y va en courant, le sprint pré-cours. Ca aide à faire monter l'adrénaline pour mieux supporter les cours rasoirs. A chacun sa technique. Il ne rentrera pas avant minuit. A vrai dire, il n'est jamais rentré avant. Non pas qu'il sorte chaque soir, au contraire, on le retrouve souvent en salle communautaire en train de rêvasser. Ou d'emmerder le monde. Je vous l'ai dit, il parle énormément. Mais des fois, c'est vrai, il arrive qu'il n'y soit pas. Alors, c'est qu'il est dehors. Il n'y a pas trop à s'inquiéter, il rentre toujours clean. Pas très frais, mais clean. Souvent, il est claqué. Cela se voit, il est poli, parle beaucoup moins que d'habitude. C'est plutôt reposant finalement. Sa bonne humeur, elle épuise plus qu'elle ne réjouit. Le pire, c'est qu'elle est constante ! Il a toujours un putain de sourire sur la face, dont il ne se sépare jamais. La rumeur dit - du moins, les représentants des anciennes colonies portugaises disent - qu'il lui arrive d'être moins joyeux. Voire même un brin mélancolique. C'est rare, et ça arrive quand il est complètement beurré. Il parait qu'il pleure sa vie en disant qu'il veut revoir Lisbonne. Généralement, faut laisser comme ça dix minutes, et il s'endort. Pas difficile à gérer, lui, c'est très simple. Mais c'est quand même bien chiant, pour les dix minutes que ça dure. Le pire, c'est que c'est aléatoire. Un coup lui, un coup elle. Il débarque comme ça, à 3h du matin, et ne veut plus repartir. Quoique ça, pas besoin de l'alcool. C'est un sacré squatteur, même sobre. Il estime qu'il est la bienvenue chez tous ses potes. Autrement dit, les trois quarts de l'académie. Selon lui. Cela va de soi.
❧ Ce que vous aimez : Toi, lui, une ambiance romantique. Et pleins d'autres trucs aussi. Tu veux vraiment une liste ? La morue. Le filet de morue. L'huile de morue. La moruzella. La morue au porto. Le mcmorue. La morue à la vapeur. La morue au porto de morue. La ...
❧ Ce que vous n’aimez pas : D'autres trucs. À vrai dire, il y a pas grand chose qu'il déteste vraiment. Parlons plutôt de mauvaise foi. Comme avec l'espagouin, le gaulois, et tout plein d'autres gens. Sinon, il apprécie moyen qu'on lui claque la porte au nez ou qu'on tente d'empêcher un potentiel squat de sa part. Ou qu'on parle de lui en des termes pas forcément très polis, sans la moindre once d'humour (non, parce qu'avec, ça passe toujours mieux). Qu'on critique ses doux poils d'ou— d'hommes. Qu'on lui finit la bouteille sous le bec. Qu'on le compare à l'Espagne. Qu'on le dise espagnol. Qu'on lui cause en espagnol. Qu'on situe son pays en Espagne. Qu'on le localise par rapport à l'Espagne. Qu'on lui offre un truc d'Espagne. Voir la tête d'Espagne. Espagne. ... J'ai parlé des poils ?
❧ Talents particuliers : CHANTER. Faux. Un talent inné, comme ça, qu'il a depuis la naissance. Sois pas jaloux. Nan, je déconne. Il peut chanter normalement s'il se concentre. Mais normalement, hein ! Je précise. C'est pas la future Castafiore, pas vraiment non. Quoique si, dans le principe où il te pète les tympans. Euh, bref. Il gratte des cordes des fois, mais c'est souvent très simple, pour un petit rythme. Il danse. Et ça par contre, il s'en sort bien. ❧ Habitudes/Tics : Sa main sur ton épaule. Tout le temps. Cherche pas. C'est pour te changer des ritals qui bougent les mains. Lui, il te les colle dessus. Sinon, il te fixe dans les mirettes quand il parle. Et réciproquement. Si tu détournes le regard, il te chopera la face pour que tu le regardes en face. Si vous marchez, il s'arrêtera sans doute toutes les trois secondes. On ne peut rien contre les vieilles habitudes, même franchement stupides.
❧ Clubs dont vous faites partie : Foot, dude. Sans doute l'un des pires joueurs, mais OH, il y est. ❧ Loisirs : euh. Il chante. Seul, dans sa chambre, super fort. Autre chose ? Ok. Il danse. Souvent. Seul ou pas seul. Et en activité de groupe, la liquidation des stocks. De porto I mean. ❧ Poste/Emploi : Euh. EUH. Rien en ce moment. 'S'est fait virer cet été. Après avoir été viré en janvier. Et pareil en septembre dernier. Bon, du coup, là, il cherche. Mais les jobs étudiants, y en a pas des masses, et les autres ont été grave plus rapide. Alors : il cherche. Mais pas trop. VOUS ! Oui, vous !
Surnom : Qu's'tu veux mon surnom toi ? Âge : non Comment vous avez connu le forum ?non Des commentaires ? non Et pour finir, le fameux code secret ! non |
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