Invité
| Sujet: "Never show your teeth unless you can bite"| Scotland |Terminée Lun 3 Mar - 0:33 | |
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✯ Nom : MACLEOD, Tearlach ✯ Surnoms : Aucun. En veut pas. Écosse ou Tearlach, c'est parfait. ✯ Âge : 19 ans ✯ Sexe : Type au masculin. ✯ Anniversaire : 30 novembre 1995 ✯ Orientation Sexuelle : Ouvert à tout, normalement. Mais un fort penchant pour les demoiselles. ✯ Niveau Scolaire : 19-20 - Cycle avancé
❧ Pays que vous représentez : L'Écosse, also know as Alba et Scotland. Facilement devinable à l'accent semi-compréhensif. ❧ Langues que vous parlez : L'anglais (A pas trop le choix)(mais le parle à la façon écossaise et a pas l'intention de changer ça. ), a sacrifié une partie de son âme pour apprendre l'écossais et le scots. A une bonne base de français, aussi. Et parfois, il lui arrive de parler le "Tearlachais", c'est-à-dire le "je m'exprime par une série de jurons incompréhensifs". ❧ Histoire Personnelle :
Aye right.
C’est sa réponse à la vie. Sa réponse à ce qu’on aura qualifié de « joies de l’enfance » ou, plus loin, dans le futur, de « joie de la vie ». Qu’est-ce qu’il y a de joyeux, hein ? Qu’est-ce qu’il y a de bien à avoir des limites imposées d’offices. Pas grand-chose, mais c’est tout de même mieux qu’être maltraité, on va dire. Ce sont ces limites-là qui ont fait rager Tearlach, second-rouquin-de-service de la fratrie blondo-rouquine-noirorandom. « T’as pas le droit de taper Arthur ». « Non, on crache pas la nourriture ». « Respecte Rory, c’est ton aîné ». « On triche pas ! ». Des limites, des limites. Mais fort bien utiles pour l’enfant turbulent, l’enfant impulsif, mais quand même attachant, qu’il fallait pourtant tous les efforts du monde pour contrôler normalement. Mauvais élève qui préférait de loin se battre que faire ses maths, gamin qui prétendait pas avoir à travailler parce qu’un jour il irait à Poudlard (Dieu pas merci d’avoir placé Poudlard en Écosse), gamin qu’on devait taper gentiment derrière la tête pour le forcer à aller prendre son bain. Bref, la vie normale le faisait chier. Et être le presque-plus-jeune, ça le faisait chier. Parce qu’’il trouvait pas Rory particulièrement mature, admettons Il avait vu des types plus mature (quoiqu’à moins de douze ans on est pas vraiment mature, hein). Il se permettait de jouer le grand-frère, mais pas de doute qu’on le remettait à sa place. Puis il boudait. Il boudait son statu fraternel. Il était sûr qu’il y avait eu un mauvais tirage lorsqu’était venu le temps de placer les gamins dans l’ordre chronologique de naissance. Il n’a, d’ailleurs pas encore assumé ceci. Ça viendra peut-être.
Il était pas du genre à avoir hyper plein d’amis. Il en avait le strict nécessaire en plus de ses frères (avec qui il jouait pas trop spécialement, ça l’intéressait pas trop. Ça serait trop facile si les frères et sœurs étaient fait pour jouer). Et il était pas assez sympa pour avoir plein d’amis. Un gamin qui jure comme un plombier qui s’est frappé la tête sur le bord d’un évier, c’est pas très le fun, admettons. Mais bon, il préférait la compagnie des adultes. Genre ses enseignants. Ils étaient sympathiques, eux. Et puis un jour.
« Aye right. Vous m’laissez pas tout seul avec Arthur », qu’il avait dit quand les deux aînés venaient pour partir en même temps, pour la première fois (genre, les deux en même temps), à l’académie bizarre. Il avait pas grand-chose contre Arthur, c’était son frère, après tout. Mais admettons que c’était pas son préféré. Une petit sentiment amer incompréhensif, probablement (la preuve indirecte qu’il ira, lui aussi, à cette école bizarre). Il se sentait comme un gamin qu’on laisse tout seul dans une pièce avec un gros punching bag taille humaine gonflable. Le droit de taper dessus en moins, en fait. Ça le faisait sarcastiquement soupirer. Puis un jour, il avait lui-même reçu cette lettre de cette école pas normale. Ça le faisait joyeusement soupirer.
Et puis, là-bas, il n’avait pas changé grand-chose à sa vie de tous les jours. Par contre, avec le temps, il avait gagné un peu en maturité et, ça, ça a aidé pas mal à son intégration. Mais c’est pas rare de l’entendre encore soupirer un « aye right » un peu plus rieur.
❧ Famille : Irlande et Pays de Galles en guise de grand-frères, Angleterre en guise de frère plus jeune. Oublie parfois qu'il est pas le plus vieux en se permettant d'agir comme tel avec les deux supérieurs-fraternels. Irlande du nord, c'est sa cousine. ❧ Vous avez l’air de quoi ?
"A pritty face suits the dish-cloot"
1m62 de pur homme. La taille ne fait pas le moine, dit-on. Car pour compenser sa petitesse, Tearlach est assez bien battit. Les effets du rugby et de l’entraînement, il paraît (dans ses rêves de gamin les plus fous, il voulait lancer des rondeaux de bois. Parce que c’est classe). Les épaules larges, le six pack, les mollets bien durs et les bras pas fins pantoufle, il n’est pas le genre de petit homme qu’on s’attend voir. Ça fait mal quand il se fâche, admettons. Souvent en jeans et en t-shirt, l’écossais moyen n’hésite pas à parfois troquer ceci pour quelque chose d’un peu plus classe, autrement dit : contre une chemise (qu’il n’attache jamais au col, d’ailleurs. Il renie les cravates du plus profond de son cœur roux) et un pantalon soigné. En fait, il s’adapte un peu à tout. Quoi qu’il ait un sérieux faible pour les kilts, les pulls laids et le caleçon-seulement-mais-dans-sa-chambre. Le roux adopte toujours une posture fière et bien droite. Cependant, lorsqu’assis, il se tient aussi droit que la tour de Pise.
Espèce assez poilue, le damoiseau a l’air d’une carotte à poils. Oui. Il est roux. De partout. Des poils de pattes aux poils de cheveux. Et c’est assez imposant sur le torse. Heureusement, il n’a rien dans le dos. Parfois, il se laisse pousser la barbe (rousse aussi), mais c’est très rare, parce que ça pique. L’Écosse tente du mieux qu’il peut de se coiffer comme une personne civilisée et normale, mais ses cheveux ne semblent pas coopérer. Les taches de rousseur ont marqué leur territoire un peu partout sur Tea. Pour contraster avec le fameux orange-Weasley ( ou Pond, c’est au choix), il a hérité d’une paire d’yeux pairs valsant entre le bleu gris et le vert dégueux. Finalement, il se la joue passoire au niveau des oreilles. Son oreille gauche est percée à plusieurs endroits.
❧ Ça se passe comment dans votre tête ?
"Dae ye think ah came up the Clyde in a banana skin ?"
“Siblingzone”. C’est l’endroit où tu seras coincé s’il t’aime bien. Ouep, ouep. C’est triste (ou drôle) à dire, mais le rouquin est une espèce de grand-frère-portable. Il t’encourage, il t’ébouriffe les cheveux ou te tape dans le dos pour t’encourager. Il s’inquiète, il cherche à se rassurer, il veut pas que tu meurs manger par un mouton. Bref, il t’aime beaucoup. S’il t’aime juste un peu (et cette notion est proportionnelle à combien d’assiettes tu peux manger), bien il va être amical. En fait, il le sera jusqu’à ce que tu commences à lui taper sur les nerfs. Il est du genre à aimer parler aux gens, à conter des blagues nuls, à aimer se sentir bien. Et puis, quand tu commences à l’agacer, il devient un peu moins fun. Parce qu’il tape. Parce qu’il est incapable de te parler sans sortir trois-quatre trucs pas trop polis. Même si, éventuellement, il est pas particulièrement poli de base. Dans son apprentissage de la politesse, quelque chose a foiré d’aplomb. Il arrive à peine à retenir un juron, il tient pas la porte aux vieilles dames, il te fume au visage ou il te laisse pas sa place dans le bus même si t’es sur le bord de tomber (sauf aux vielles dames. Il leur ouvre pas la porte, mais au moins il leur laisse sa place), il se gratte le paquet sans retenue et il te le dit, pratiquement en le crachant, si ta nourriture est mauvaise.
Si tu t’y frottes tu t’y piques, comme un chardon(les joies de la fleur nationale). En bref, si tu l’irrites, il te tape. Parce qu’il aime taper. Ça lui permet de dépenser son énergie et son trop plein de testostérone. Il ta tape aussi si tu le bas à un concours de « qui boit le plus en moins de temps » ou si tu oses lui dire qu’il aura jamais son indépendance (ça lui tient à cœur, ça. En bon patriote écossais hardcore).
Radin intense. Très, très. Il aime son argent (même s’il n’en a pas beaucoup), plus qu’il t’aime toi (parce que, toi, tu lui permettras pas de manger ou d’avoir un toit dans le futur). Donc, il te prête jamais d’argent (mais t’en demande souvent, c’est l’hôpital qui se moque de la charité ) sous peur que tu ne la lui rende jamais et que tu t’envoles au Mexique avec. Il dépense très peu pour des conneries (sauf pour les clopes, c’est existentiels) et à peine pour de nouveaux vêtements, puis il ne laisse jamais de pourboire. Il fait ses budgets très, très, serrés et semble parfois obsessif envers ça.
Passionné. Trop. Dans tout ce qu’il fait. Tellement passionné qu’il arrive pas à boire de façon raisonnable, tellement passionné qu’il abuse des clopes. Non, en fait, il l’est aussi dans le sens positif de la chose. Quand il est concentré, il a des petites étoiles imaginaires dans les yeux. Il aime ce qu’il fait, sinon il le fait pas (du moins, pas sans grommeler comme un vieil ours). Il fait du mieux qu’il peut pour faire ce qu’il fait comme il faut, pour s’améliorer ou pour, au moins, en voir la fin. Il n’est pas travaillant plus qu’il faut, mais disons qu’il est assez motivé. C’est pas ce qu’il lui manque, la motivation (sauf en matière de blabla. Il parle vite et « mal ». Bonne chance pour le comprendre). Pour en revenir à la parenthèse, Tearlach est hyper bruyant. Surtout quand il parle. Il parle tellement fort qu’on pourrait croire qu’il passe sa vie à gueuler, mais en fait, c’est simplement qu’il a la voix qui porte. Mais ça, les gens comprennent pas (et c’est comprenable, en fait, qu’ils comprennent pas. ) Cependant, il est observateur. Calme quand c’en vaut pas la peine, il aime bien analyser les gens du regard ou lire un bouquin sans déranger. C’est pourtant pas un grand penseur (sauf quand il s’agit de la beauté des choses. Étrangement, ça le touche. Bonjour le côté poète), il préfère simplement éviter de sortir des conneries (#lol).
❧ Ce que vous aimez : Fumer, boire, les moutons (lorsque cuisinés, surtout. Les aime bien en pulls, aussi.), se promener en caleçon dans sa chambre (quand il a plus de vêtements encombrant, genre uniforme, en fait), la cornemuse, sa fratrie(même Angleterre. Même si ça se voit pas toujours), le foot, le rugby, le golf, son kilt chanceux, se battre, la poésie. ❧ Ce que vous n’aimez pas : La chaleur (et le soleil, accessoirement. Parce qu'il passe de blanc roux à rouge pivoine, surtout), dépenser de l'argent, les gens inutiles, les gens qui ramènent inutilement (et à des fins de bashage ) la question de l'indépendance, qu'on tombe accidentellement sur ses poèmes.
❧ Talents particuliers : Ne jamais réussir à se faire comprendre sans prendre le temps de parler correctement. Sinon, il sait jouer de la cornemuse. ❧ Habitudes/Tics : Il fume comme une cheminée. Il est frustré, il sort fumer. Il est content, il sort fumer. Il est triste, il sort fumer.
❧ Clubs dont vous faites partie : Rugby ❧ Loisirs : Fumer, le rugby, regarder le sport à la télé, parfois faire un poète de lui. ❧ Poste/Emploi : Travaille dans une bouquinerie. C'est la seule place qui a voulu de lui, en fait.
VOUS ! Oui, vous !
Surnom : Mymmi. Âge : 18 ans Comment vous avez connu le forum ? Il a pop-uppé random Des commentaires ? ALLO. Et pour finir, le fameux code secret ! Blancs avec plein de glaces avec des sourires.
Dernière édition par Écosse / Tearlach MacLeod le Mar 4 Mar - 1:22, édité 7 fois |
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